Osiris est né en Egypte, mais pas à l’hôpital comme la majorité des enfants. Il est né à la maison enfin plutôt dans un taudis. Sa mère travaillait comme servante pour une grande famille. Et fatidiquement quand elle tombé enceinte elle a été expulsée et l’affaire largement étouffé.  C’est ainsi qu’est né le jeune homme dans un taudis, sans père, juste avec sa mère et d’autre femmes des environs qui se tiennent les coudes. Les premières années de sa vie le garçon n’a pas été nommé par sa mère. Surement car le garçon rappelait trop à sa mère, son géniteur.

La pauvreté et le manque de médecin dans leur habitat, isolait encore plus le jeune garçon. Bébé il pleurait sans cesse, en grandissant, les pleurs se sont transformés en cri avant de devenir des silences interminables. Le garçon ne prononçait aucun mot, aucun son, il semblait toujours dans son monde et éloigné de tous, peureux et inquiet.

Peu après ces trois ans, la voisine qui venait les voir tous les jours est morte. C’était une femme que sa mère considérait comme une amie, une vraie aide. Et sa mère venait de perdre la seule chose autre que son fils qui avait encore de l’importance pour elle. Pourtant entre les sanglots et les larmes de sa mère, le garçon a parlé pour la première fois.  

« Elle te dit de ne pas pleurer, maman… elle veillera sur toi…. Et vous vous retrouverez… »

Ma mère était loin de penser que en fait mon mutisme était dû au fait que je vois les morts et les entends… depuis ma naissance. Sauf que ! Dans ce taudis dépravé, il y a plus d’âme errante pleine de souffrance qu’autre chose et pour un enfant, c’est plutôt une vraie torture… Quoi qu’il en soit suite à cet évènement ma mère me donna le prénom Osiris… le roi des morts… je ne sais pas si elle voulait en plus me rappeler toute ma vie que je pouvais voir des cadavres ambulant mais elle a réussi à rendre ma vie un peu moins supportable encore avec cette décision. Cependant je suis incapable de lui en vouloir, elle m’a donné tant d’amour, elle a pris soin de moi, m’a appris à lire à écrire. J’ai appris à voler aussi pour manger, et surtout pour survivre. Les bas quartiers n’ont rien d’enviable.

Le jour de mes dix ans, un homme est venu frapper à notre porte. Il se trouve que mon père avait un autre fils avec sa femme officiel. Alors qu’est qui le pousse à envoyer un de ces hommes de main chercher son bâtard ? Tout simplement la mort de son fils suite à une maladie.  Est-ce qu’on a demandé mon avis ou celui de ma mère ? Non. Mais cet homme devait avoir un héritier et j’étais le seul à avoir un lien de sang avec lui.  Et si on se demande pourquoi il n’a pas simplement refait un enfant à sa femme, c’est parce qu’elle a eu une décente d’organe à l’accouchement… l’empêchant d’enfanter de nouveau.  

Cet évènement à marquer un tournant dans la vie de ce jeune garçon. Il a déménagé des quelques kilomètres à peine mais cela semblait être un autre monde une fois arrivé dans la maison luxueuse d’Alexandrie de son père. Il a perdu sa mère pour gagner une fam… de l’argent.  En effet, une fois arrivé dans la demeure de son père, il été accueilli avec dédain, par sa belle-mère et par son père. Cependant étant le seul fils qui reste il fallait bien en faire quelqu’un… d’acceptable. Le garçon a suivi des cours des meilleurs il a appris des tonnes de chose pour devenir l’héritier parfait aux yeux de son père. Ce qui a soulagé un peu le jeune garçon est qu’il y a moins d’âme égaré à cet endroit. En parallèle de ses études il a pratiqué du sport pour former son corps et apprendre à se battre, le jeune garçon apeuré avait maintenant de la colère en lui… une colère indescriptible envers sa belle-mère qui le traite comme un moins que rien et son père qui le voit que comme un objet et à abandonner sa mère dans les bas-quartier, une seconde fois.

Le garçon se rend bien compte que la vie ici et là-bas n’a rien à voir. Malgré le comportement de ces nouveaux « parent » il a tout ce qu’il veut, tout ce qui peut être bon ou mauvais pour lui. Il avait à ses côtés de petite créature bleu ressemblant à des chats. En réalité se sont des âmes qu’il a matérialisées près de lui, et assez ironiquement ce sont les âmes de chatons qui sont rassemblé dans ces corps. La première fois qu’il les a fait apparaitre c’était pour ces 12 ans alors qu’il se sentait incroyablement seul. Le jour de ses 16 ans, son père la conduit pour la première fois à l’entreprise familiale, il a visité, le siège mais aussi le lieu de récolte ou de fabrication des matières première. L’enfant était devenu un jeune homme très intelligent, en apparence plutôt docile.

Osiris a commencé à créer des liens au sein de l’entreprise, il a commencé aussi à remercier discrètement les servantes dans sa maison, derrière le dos de ces parents.

Pour son premier voyage d’affaire en Europe, plus précisément en Finlande il a rencontré un jeune homme de son âge. Aatos. Aatos Tursas. L’étranger avait des cheveux blonds et un regard bercé de bleu. Mais ce qui marqua notre roi des morts est cet air malicieux et joueur qu’avait le jeune homme. Il faut dire qu’Osiris n’avait que rarement vu d’autre jeune de son âge depuis que son père l’avait récupéré. Bien évidemment, cette rencontre n’était pas un hasard la famille Tursas était une grande famille finlandaise qui faisait souvent affaire avec le père d’Osiris.  Cela signifiait que plus tard les deux garçons devraient aussi traiter ensemble. Les Tursas achetait de la matière première, notamment des métaux, pour fabriquer divers objets de haute technologie et d’extrêmement bonne qualité. Après avoir assister à une première réunion à mourir d’ennui les deux garçons eurent quartier libre pour faire connaissance.  Ce fut le début d’une forte amitié. Au début Osiris était muet comme à son habitude mais Aatos ne l’entendais pas de cette oreille, jeune garçon énergique et plein de vie il voulut montrer à Osiris ce que c’était de s’amuser.

Hey ! tout doux le narrateur… il est vrai il a voulu, mais il m’a surtout forcé l’animal !  C’était un vrai con surtout. Je me souviens mettre retrouver au milieu d’une soirée alors qu’on était encore mineur, il semblait si à l’aise dans cet univers. Un univers plein de débauche, d’alcool et de drogue… un milieu plein de jeune riche cherchant à oublier leur future responsabilité. Et je l’admets c’était marrant, je crois qu’avec cette semaine j’ai compris que je ne pourrais pas échapper à mon avenir mais je pourrais trouver du bonheur quand certaine liberté qu’on me laisse. J’ai souvent passé du temps avec Aatos les années qui ont suivi. Je crois que cela rassurait mon père dans un sens… j’ai changé, je me suis ouvert au monde, j’ai appris à connaitre mon corps mais également celui des autres, d’homme et de femme. Je l’admets l’alcool nous a même poussé à déraper quelque peu avec Aatos, aujourd’hui on en garde juste de bon souvenir. Mon extravagance c’est réveillé petit à petit, peut-être aussi pour provoquer mon père… je me suis mis à porter de l’or tel des vêtements. En fait… je trouve surtout que ça met bien valeur mon corps. Après tout le sport que je fais dois bien servir à quelque chose et si ces demoiselles aime voir mon corps grand bien leur face il est exposé.  

C’est devenu un jeu dans son esprit, un jeu pour plaire, pour amadouer les gens, pour les manipuler, pour voir comme les gens ne regarde que l’apparence… alors que lui… il savait… il sait que l’âme nous représente bien plus. Il a vu toute sorte de gens suivit de toute sorte d’âme ou d’esprit, accroché à eux… il a compris que la plupart du temps les âmes, ne sont pas constamment présente, elles viennent et parte entre le royaume des morts et celui-ci. Pourtant certaines sont attachées à cette terre. Elles souffrent parfois attacher à leur meurtrier à ceux envers qui elles ont des reproches. Quoi qu’il en soit Osiris, est contraint de voir cet aspect caché des gens, sans compter les fantômes bavard… surement les pires quand on a une migraine.  

Je n’avais pas fini ! je voulais rajouter qu’avec Aatos on se comprenait instinctivement, on a fini par ne plus rien se cacher, tout se dire. S’aider quand l’autre en avait besoin. Je crois que cette proximité était possible car lui aussi son feu le suivait depuis la naissance… lui aussi voyait des choses que les autres ne voyait pas.  Même moi je ne voyais pas ce que lui voyais… chacun avec son fardeau on a trouvé un équilibre et un lien indéfectible.  Même si on ne se comprenait pas toujours. En effet, lui a grandis dans le luxe, aux milieux de tout cet argent il n’a jamais connu la précarité et ne s’en ais jamais vraiment inquiété. Ces parents l’aiment et sont un couple riche… classique. Mais malgré nos désaccords sur certain sujet le ton n’est jamais monté, on n’a jamais cherché à changer foncièrement l’autre. On a appris juste à connaitre le monde de l’autre avec ces qualités et ces défauts.

En ce sens je remercie mon père d’avoir fait de moi son héritier j’ai pu rencontrer un garçon qui est devenu mon ami, et un des seul sur qui je peux compter en ce bas monde.  Cependant la vie n’étant pas faite que d’amusement j’ai dû continuer ma formation pour la succession. Je suis allé dans les meilleurs école supérieur d’Europe. J’ai appris la gestion et l’économie mais également la chimie. Tout ce qui me fallait pour savoir ce que je vendais et comment le vendre comment en faire un réel profit.

En réalité j’ai étudié en Suisse à partir de mes 16 ans (afin d’obtenir un de ces diplômes reconnu à l’international), mais finalement toute notre petite famille à déménager en Suisse. Je m’explique, Ma tendre, adorable, parfaite belle-mère est tombée malade. Alors, j’entends, on est riche et qu’elle aurait pu se faire soigner à Alexandrie ou aux Caire, mais mon père voulait le meilleur pour elle. Je l’avoue, j’ai ressenti de la jalousie, vis-à-vis de ma mère surtout… ma chère mère que je n’avais pas vu depuis qu’on m’a arraché à elle. Je n’ai appris sa mort que bien plus tard. Mais là n’est pas la question. Mon père nous a fait déménager dans sa belle villa en Suisse, offrant tout le confort possible pour ma belle-mère, il a même fait venir nos servante d’Egypte pour ne pas la dépayser de trop. La totale quoi.  L’entreprise avait déjà un siège en suisse ce qui a largement facilité le transfert. L’avantage d’une maison aussi grande que cette villa… c’est que je pouvais éviter mes parents très facilement.

Cette horrible femme m’a fait le plaisir de mourir alors que j’étais en bac +3, et comble du plaisir elle est morte à l’hôpital ! Oui, pour moi c’est un soulagement incommensurable je suis sûr que si elle était morte dans la maison elle serait restée juste pour me pourrir la vie… vie qui est déjà assez compliqué comme ça.

Après cela, ma vie à prit une drôle de tournure, j’ai fini mes études à 24 ans, et j’ai de suite intégrée officiellement l’entreprise de mon père. Notre rapport était disons inexistant, et je n’avais pas mon mot à dire. Alors pendant quelque mois je suis partie, j’ai voyagé un peu, notamment pour voir les mines, les laboratoires et les différents sièges de la société. J’en ais profiter pour voir Aatos, après tout toute occasion était bonne pour le voir malgré nos nombreuse correspondance et appel. Et le plus important dans tout ça… je suis rentré en Egypte. Je pouvais enfin essayer de retrouver ma mère. Remettre les pieds dans les bidonvilles de l’Egypte, m’a fait un choque… ce qui un temps était mon quotidien en était venu à répugner l’adulte que je suis devenu.  Cette poussière, ce stable… ces routes inexistantes et ces immeubles qui semblent attendre qu’une chose s’effondrer sur votre tête… Tout cela me semblait horrible et dégoutant.  Et puis tout le monde me dévisageait, un gamin à même arraché mon bracelet en or… Bon en soit je m’en fiche, mais c’était comme se prendre une baffe une pleine figure. Comme si le verrou sur ma mémoire avait enfin cédé. Moi aussi j’ai volé…

Bref passé bien 10 minutes ou peut-être une heure… à errer dans les rues, j’ai retrouvé l’appartement enfin le trou dans le béton qui nous servait de de foyer. Vide… enfin presque une autre famille était là. Et j’ai vu la peur dans leurs yeux, mais très rapidement je me suis excusé et j’ai demandé s’il savait ce qu’était devenue ma mère.  Après avoir cherché un peu dans tout l’immeuble des informations j’ai enfin appris qu’elle avait finir par mourir quelques rues plus loin.  

Une fois dans la rue en question, j’ai cherché partout entre vivant et mort si je pouvais la voir, et finalement, finalement, j’ai pu voir son âme… d’un côté j’avais espéré que ça ne serait pas le cas, qu’elle ne serait pas attachée aux lieux de sa mort… Je me souviens être resté silencieux, longtemps et elle aussi. Après un long silence j’ai fini par m’excuser et la remercier d’avoir pris soin de moi. Après quelques mots échangés un « je t’aime » arracher du fond de ma gorge elle est enfin partie… elle s’est enfin libérée de ces chaines, et je crois qu’avoir vu Anubis venir la chercher, mais sous les émotions je n’étais sûre de rien.

Bon je n’ai pas besoin de vous faire une photo ?  En rentrant j’étais de très mauvaise humeur, car la vérité c’est que ma mère, est morte car mon père à refuser un de l’aider quand elle est tombée enceinte, deux à subvenir à nos besoins, trois à la dédommager après m’avoir enlevé à elle comme si après dix ans d’absence il avait quand même tous les droits sur moi. Alors disons que quand je l’ai revu à la maison, je ne sais pas trop comment expliquer ce qui s’est passé. J’ai senti mon feu, s’activé, d’une façon que je ne pensais pas possible. Les âmes autour de moi n’ont pas pris forme physique… c’était différents… Juste le voir, je souhaitais fortement sa mort, tellement que j’ai sentis mon feu, s’agiter fortement, les âmes voler dans sa direction tel de petit feu follet bleu traversant…son corps. Plusieurs fois les âmes passe à travers lui. S’en ait suivi un instant de silence… puis du sang à sembler couler de ses orifices et il s’est effondré. Je suis resté un instant immobile alors que devant moi apparaissait Anubis. Le dieu m’a observé avant tendre la main vers moi et j’ai senti qu’on m’arrachait quelque chose.  

-Osiris, c’est la première fois que je me montre à toi. Sache que pour chaque utilisation des âmes de cette façon… j’arracherais une part de ta vie. Aujourd’hui je te retire 3 ans de ton espérance de vie.  

Je l’admets, je suis resté dans l’incompréhension… puis un tas de question son sortie de mes lèvres comme un flot continue, et pour chaque question il avait une réponse simple.  J’ai compris alors l’ampleur de mon pouvoir, et ces conséquences qui jusqu’à lors me semblait inconnu. Et à la fin de cette discussion il a fait apparaitre un heqa et me la tendu.  

-Tiens, prends. La mort est une chose délicate, par le biais de ce heqa tu pourra plus facilement contrôler ton feu. Tu pourras ainsi choisir ou pas de perdre de la vie en l’utilisant.

Je me souviens avoir bégayé un merci. Il s’est ensuite en aller avec l’âme de mon père. Je ne sais pas comment expliquer tout ça mais j’étais clairement en état de choc et quand j’ai appelé les urgences je parlais d’une voix monotone.  

Je ne vais pas vous mentir, les jours qui ont suivit était comme vide de sens, j’ai pris la direction de l’entreprise, mais je passais plus de temps seul enfermé dans ma chambre qu’autre chose. Je n’étais pas triste d’avoir perdu mon père, j’étais simplement perdu de ce qui m’arrivait.  Peut-être était-il temps… de rejoindre un dieu ? peut-être qu’avec d’autre héro je me comprendrais mieux ? Mes chats bleus ne pouvaient apaiser cette sensation désagréable d’avoir perdu de l’espérance de vie.

Au bout de deux semaines j’ai réussi à appeler Aatos. Après une longue discussion on a décidé de remettre l’idée de se trouver un dieu à plus tard, et surtout cet idiot n’a rien trouvé de mieux que de débarquer en Suisse pour me remonter le moral. S’en est suivit, deux semaines de fêtes, de débauche et j’en passe.  Et entre nos cuites infernales, on a réussi je ne sais pas comment à discuter et à en conclure qu’on devrait peut-être enfin aller auprès d’un dieu… Dans un sens je me suis dis que peut-être qu’on espérait se sentir plus utile… peut-être que cela m’aiderait à ne pas me voir comme un monstre toute ma vie ? ou juste ne pas céder une bonne fois pour toute à mon envie de rejoindre les morts définitivement.  Lorsque Aatos est repartie faire le tour des dieux je crois, j’ai décidé de faire les choses dans l’ordre… et la première chose étais de reprendre l’entreprise de mon père, de m’imposer et de faire le ménage. Je ne voyais pas du tout les chose comme mon père après tout.  

Cela m’a pris plusieurs mois, et la première fois que j’ai rencontré un dieu, autre que Anubis, c’est quand je suis allé voir Aatos chez Héphaïstos. Le dieu des forges était des plus impressionnant je dois l’admettre, et mon séjour n’a pas été inutile car contre rémunération je me suis proposer à lui fournir des matériaux bruts, de la plus grande qualité. Suite à cela j’ai repris ma vie, j’ai voyagé beaucoup, pour gérer mes affaires en oubliant presque de chercher un dieu à servir, faut dire que diriger une entreprise est déjà un travail à plein temps.  C’est finalement une déesse qui est venu à moi, alors pas littéralement mais j’ai reçu une lettre d’Aphrodite disant qu’elle souhaitait me rencontrer…. Bon et surtout me mettre dans son lit, la déesse de l’amour à l’œil pour repérer les jolis garçons je suppose.  

Cependant la rencontrer à été bénéfique, je mentirais si je disais que me glisser dans son lit n’était pas une expérience fabuleuse. Et puis finalement ce n’étais pas si mal de travailler pour elle je suppose. Même si je n’ai pas de préférences à protéger, la faune ou la flore. C’était peut-être le choix de la facilité. Mais finalement être là-bas me conviens bien je crois.  Je peux exposer ma beauté librement, et cela plais à la déesse, et puis ça me rappel comment il y a quelques années j’aimais vraiment draguer et me mettre en avant.

Aujourd’hui je m’y suis habitué, il s’est passé des choses depuis mon arrivé là-bas, et pourtant je n’y loge pas forcément. Dans ce luxe exorbitant, j’ai tissé des liens ? si on peut dire. En tout cas ça fait maintenant un peu plus de trois ans et demi que je travaille pour la déesse et il me semble que je vie mieux le fardeau qu’Anubis semble m’avoir donnée, j’ai appris à en faire usage avec parcimonie, et surtout à user à bon escient de son présent.