Kaelia, est né dans une famille plutôt riche. Son père est un grand PDG et sa mère avocate international. Elle est la deuxième fille. Autant dire que sa vie était déjà prévue comme on trace des lignes sur un papier millimétré en prévention des futurs graphiques. Ses parents ont été quelque peu déçu par sa naissance, pas en tant qu’individu, mais en tant que femme. Il faut dire que Kaelia a déjà une grande sœur, nommé Scarlett. De 6 ans son ainée Scarlett serait celle qui reprendrait l’entreprise de leur père, sauf si un garçon venait à naitre. Kaelia étant la seconde on lui avait prévu d’être une directrice économique ou une grande avocate comme sa mère… quoi qu’il en soit le mot d’ordre était excellence. Et bien sûr il était hors de question de ne pas gagner correctement sa vie… c’était même inimaginable.

Je suis née à Séoul, alors oui je sais mon prénom ne sonne pas vraiment Corréen mais c’était un choix voulu de mon père qui avait prévu de retourner au États-Unis quelques années plus tard. Je ne peux pas me plaindre de mes premières années de vie, ma mère à toujours été attentive à mes besoins. Et aussi surprenant que cela puisse paraitre c’est ma sœur Scarlett qui faisait le plus attention à moi. J’ai reçu très jeune une éducation de bourgeoise, une éducation stricte à laquelle je ne semblais pas très réceptive. Alors dès mes 3 ans on m’a inscrite dans un sport d’art martiale, car il parait que cela forge l’esprit… et surtout inculque de notion de discipline. J’ai fait mes premières années d’études donc en Corée. Je m’estime comme une petite relativement intelligente… j’apprenais assez vite et facilement les notions comme si c’était vital. Ce qui n’est pas tout à fait faux. Peut-être aussi que j’avais de l’admiration pour ma grande sœur qui semblait montrer des prédispositions dès son plus jeune âge pour le charme et les relations humaines avantageuse.  

Moi… eh bien disons que j’étais pas du tout doué pour les relations humaines, d’un naturel hautain et arrogant je ne me faisais pas beaucoup d’amis. Pire encore j’étais plutôt bagarreuse dans l’âme, téméraire je dirais en fait. Ce qu’il faut comprendre dès maintenant c’est j’étais aussi un sacré casse-cou, à essayer de grimper à des choses improbables, à tenter des sauts dangereux, et tout un tas de chose qui font que ma sœur c’est énormément occupé de moi, à souvent panser mes plaies. Outre mes actes absolument dangereux pour moi, j’aimais la musique, la danse et le dessin. Très rapidement j’ai montré des prédispositions dans ces domaines. Il faut savoir que cette prédisposition n’était certainement pas en accord avec les ambitions de mes parents. Déjà ils n’ont pas eu de fils alors… une fille « saltimbanque » c’était impossible.  

L’année de mes 7 ans on a finalement déménager aux États-Unis. Soyons d’accord c’était probablement la pire décision vis-à-vis de moi, si déjà en Corée je m’amusais sur de la K-pop, arrivé aux USA… c’est un flot de musique différentes pour danser qui se sont offerte à moi, R&B, rock, pop, country et j’en passe. C’est à ce moment que j’ai commencé à chanter, le rap, me plaisait particulièrement. J’ai aussi découvert la joie des yamakasi et du parcours. Et… la pire chose qui aurait pu arriver pour mes parents, je me plaisais à aller trainer dans les bas quartier… des excursions absolument pas autorisées. J’échappais à la surveillance du majordome de la maison. J’ai vu de belle fresque sur les murs, qu’on appelle des tags et j’ai commencé à trainer avec des gens pas recommandables selon mes parents.  Le côté casse-cou est revenu à la vitesse de la lumière au grand damne de mes parents. Je crois que le côté art martiale a pas eu l’effet voulu. Cela à durée plusieurs année ce petit manège. Moi qui désobéis, qui joue avec des gamins bien plus pauvre que moi, qui va en cours dans un école pour l’élite et qui est soignée et couverte par ma grande sœur un nombre incalculable de fois.
Depuis très jeune… j’ai donc eu une passion la musique, la danse et une envie maladive de prouver à mes parents que ce que j’aime… mes passions peuvent me permettre d’être aussi influente qu’eux avec leurs longues études et leur société qui marche bien. J’ai vite compris qu’en gros la vie de bureau ce n’était pas pour moi.  Je n’avais aucun doute d’être doué, voir la meilleure dans son domaine.

L’année de mes 12 ans mes petits manèges ont été démasqué, j’entends par l’a que faire semblant d’être pauvre pour trainer avec des gens pauvre… bah ça marche moins bien quand ils se rendent compte finalement qu’on est riche et absolument pas dans le besoin.  Je me souviens bien de ce jour-là. Je tagguais un dragon chinois, une jolie créature avec des couleur un peu flashy.  Et je tagguais ça sur un mur quelconque des bas quartiers sans vraiment me préoccuper de quoi que ce soit, le tout en chantonnant la nouvelle chanson de mon groupe préféré de k-pop. Je parlais du fais pas se faire prendre ? et bien je ne le savais pas mais j’avais été cramé et trois garçons que je connaissais bien depuis le temps mon attaquer par derrière. L’un d’eux avait un couteau et il ne m’a pas vraiment loupé car j’ai été touché dans le bas du dos sur le côté droit. La douleur avait été si intense qu’elle m’a arraché un cri.  Par réflexe je m’étais éloignée, mais mon cœur battait sensiblement calmement. Une main sur la plaie je ne semblais pas vraiment percevoir, leur menace comme si je ne les entendais pas. Et avant que je m’en rende réellement compte mes yeux avait changer de couleur, les parties visibles de mon corps semblait se couvrir de tatouage coloré et même mes vêtements. Mes cheveux aussi change de couleur pour un fuchsia intense. Et surtout le dragon que je tagguais est comme sortie du mur venant s’enrouler autour de moi. Mon regard captait alors chez les jeunes garçons ce qui ressemble bien à une expression de peur, de panique, pourtant mon seul souhait était de les voir mourir pour avoir eu ce geste déplacer. Il n’a pas fallu plus de temps à mon invocation pour déchiqueter ces garçons. Je me tenais alors appuyé contre le mur, comme perdu, mon regard allant entre les corps et le dragon. Et assez étrangement aucune émotion en ressorti.  Je n’avais pas peur, je ne ressentais pas non plus de plaisir à cet acte… je me sentais juste fatigué et faible et je ne savais pas comment faire partir cette créature… mon corps lui avait trouver une solution toute vu, j’ai perdu connaissances.  

Je passerais l’intérêt de perdre connaissances dans une rue des bas quartiers, où il y a peu de passage et à se vider en partie de son sang.  Il semble que finalement quelqu’un nous a trouvé, appelé la police et une ambulance. Je me suis réveillé bien 24h plus tard, j’avais été opéré, le coup de couteau ayant touché mon rein. Je me sentais absolument mal, comateuse et je détestais ça. Et le pompon… la police m’attendais pour m’interroger. Mes réponses ont été le plus vague possible, j’ai dit avoir été attaqué par les garçons, que j’ai pris un coup dans le dos, après tout c’étais vrai…, et que je ne me souviens pas de ce qu’il y a eu après.  Ce qui en soit était fortement probable. Je n’avais pas parlé de mon feu pour une bonne raison, un j’aurais été jugée coupable probablement... et deux je savais ce qui m’arrivais car ma sœur avait déclenché son feu quelque années plus tôt, et mes parents avait fait en sorte qu’elle puisse apprendre à le maitriser avant qu’elle ne reprenne une vie « normale » si on peut appeler ça une vie normale d’être un héros.

Bref après quelques semaines de convalescence, on a déménagé. J’ai parlé avec ma sœur beaucoup… et elle m’a fait réaliser une chose qui justifiait pas mal d’action insensé que j’ai faite petite… je suis incapable de ressentir la peur. Alors dis comme ça, cela semble est super cool, sauf que ça veut dire que mon instinct de survie est nul au possible. Je peux faire des choses que personne n’oserait faire sans avoir la sensation que c’est dangereux… j’ai compris à ce moment-là que je devais plus observer les autres, si je ne pouvais pas avoir d’instinct de survie alors je compenserais par la connaissance. Le savoir de ce qui est dangereux, et le fait de faire attention aux comportements des gens, ce qui généralement leur fait peur mais leur comportement de manière générale… afin de pouvoir me protéger aussi.

Les années de ma vie suivante mon permis largement d’améliorer ces compétences chez moi. Comme je n’ai aucune considération pour autrui sauf ma sœur, vous vous doutez bien qu’il est simple pour moi de finir dans des situations délicate…  Premier point de cette période… je me suis salement pris la tête avec mes parents. Ils étaient fatigués de mon insolence, de mes bêtises et de mes lubies. Et je ne sais pas trop comment Scarlett s’y ait prise… mais elle a trouvé un juste milieu étrange… j’ai pu partir de la maison. L’objectif que je me débrouille puisque c’était mon souhait afin de prouver que même sans eux je pouvais réaliser mes objectifs et que leur argent je n’en avait pas besoin. Donc on m’a inscrite dans un collège du coin, là où je serais avec ce que communément les gens appel la racaille. Et je devais me débrouiller pour vivre. En parallèle ma sœur a promis de me garder à l’œil et de si jamais je n’y arrivais pas de me ramener de force à la maison et que je me plierais aux exigences de mes parents. Et voilà après avoir signée un papier ridicule signant cet accord je suis partie juste avec un sac à dos pour les bas quartiers.  

J’admets avoir presque regretté les premiers jours, lâché dans la rue avec juste mon feu que je contrôle mal et un sac… dans la saleté et les odeurs désagréable de gens bourré… ce fu un pur plaisir.  J’ai cependant rapidement trouvé un appartement abandonné qui est devenu mon chez moi. Un vrai taudis à mon grand regret. On était loin du luxe de ma chambre… mais au moins je pouvais prendre une douche et dormir plus ou moins à l’abris.  

Mon plus gros problème a été de trouver de l’argent, bon j’ai appris assez vite à voler un peu pour manger, et comme je suis doué en parcours et compagnie je m’en sortais plutôt bien si jamais on me repérait. Mais l’argent… ça fallait vraiment que j’en trouve. Vous savez ce qui est bien quand ce genre de quartier défavorisé ? il y a une tonne de gang, de dealer et mec qui étrange qui te font un prêt et te rappel que faut les rembourser… Quand j’ai commencé à vivre dans cet endroit je me suis mise à me présenter avec mon second prénom, cela m’arrangeait même si du coup tout le monde pensait que j’étais une émigrée ou un truc du genre.  Bref ma petite tête blonde de gamine de 12 ans n’a eu aucun mal à trouver quelqu’un qui voulait bien l’embaucher. Donc pour commencer j’ai vendu de la drogue pour un dealer du coin. Soyons d’accord je ne touche pas à ça. J’avais besoin de tout mon cerveau pour voir comment je pourrais sortir de ce merdier plus tard.

Pendant donc près d’un an j’ai fait ce travail, ayant une part très légère sur les revenus mais ça m’allait. En parallèle j’apprenais seule comment marchait mon feu, à la maison je faisais une tonne d’essai.  Qu’est-ce que je pouvais faire ou pas ?  Pour mes tentatives les plus… grande je sortais souvent très tard le soir pour aller dans un coin où personne ne passait.  Mes journées se passais à suivre mes cours tous plus ennuyeux les uns que les autres, vendre, m’entrainer et découvrir où se tenait l’objet de ma convoitise. Et j’ai trouvé dans un quartier non loin, une communauté de danseur qui se regroupait tous les jeudi soir, des groupes, des gens seul, mais surtout et le plus important des gens qui voulait faire valoir leur art et tenter de se perfectionner pour sortir de là. Je me suis mise à y aller toutes les semaines pour danser avec eux, pour danser contre eux et pour me perfectionner aussi.  Découvrir des choses que je ne connaissais pas forcément. J’apprenais vite et j’ai le rythme dans la peau, c’est plus fort que moi.  

Ce qui est assez paradoxale, c’est que je chante et je danse mais je suis nulle pour créer une partition par exemple, pour moi la musique c’est comme les pas de danse alors les notes exacte… ma foi, je n’y connais rien. Surement que j’aurais dû faire du solfège où un truc du genre… ce qui me pose un problème… je ne peux pas créer parfaitement de musique, et surtout ma voix n’est pas très lyrique… fin je peux mais ce n’est pas ce que je préfère donc… très rapidement j’ai réalisé qu’il me faudrait trouver d’autre personne pour mon objectif. Je n’avais le droit qu’à une chance alors cela devait être un sans-faute.  

A partir de mes 14 ans j’ai arrêté de dealer, alors la raison est très simple mon patron c’est fait descendre. D’un côté ça m’a rendu service. Mais je n’avais à nouveau plus de revenu. Je n’avais toujours pas trouvé ma perle rare… cependant j’avais pris des habitudes bien rodé pour me défendre. Bon déjà je faisais quasiment tous mes déplacements en courant, un sacré entretient sportif et il y a même des zones où je passais par les toits. J’avais acquis une certaine maitrise de mon feu et je le comprenais mieux maintenant. Et j’ai pris l’habitude d’avoir toujours sur moi des dagues.  J’ai donc trouvé mon nouveau travail grâce à mon feu. Déjà parce que j’ai remarqué qu’il pouvait me rendre méconnaissable… enfin presque.  Mais de nuit cela serait vraiment le plus efficace.  J’ai alors proposé un service assez particulier, celui d’être celle qui rappel à un client qu’il doit payer. N’ayant absolument aucune considération pour l’humain de manière générale et me souvenant très bien de comment j’étais lorsque j’ai tué la première fois je ne doutais pas de pouvoir y arriver.  Et ça à pas loupé, j’ai très bien effectué mon travail et j’ai pu me faire connaitre, on me surnommait le l’exécutrice. Je ne voyais pas vraiment pourquoi mais au moins je pouvais gagner de l’argent, et faire le sale boulot bien, sans jamais vraiment tuer les gens. Ce n’étais pas mon rôle et ce n’était pas mon souhait d’avoir les mains tâcher de sang aussi souvent.  Il arrivait parfois que je doive casser un os ou deux mais bon…

Pendant les deux années qui suivent j’ai donc continué ma petite routine, avec l’argent gagné je pouvais un peu améliorer mon quotidien aussi. Un soir alors que je revenais justement d’un petit contrat juteux… j’entends une voix chanter dans une ruelle, une voix que je trouve extrêmement belle. Je n’avais jamais entendu cette voix avant… fin les artistes dans le coin se connaisse tous… mais ça c’était une personne inconnue au répertoire.  Alors rien de plus normal pour moi que d’aller voir de quoi il en retourne. Avec habilité j’ai escaladé le mur me séparant de cette voix. Et j’avoue que là c’est une vision des plus surprenante qui est apparu devant moi.  Cette femme… était absolument magnifique… mais ce qui se passait là dépassait l’imaginable. Quel est la probabilité pour cette voix qui me semblait la plus parfaite du monde soit celle d’une tueuse ?

La scène aurait perturbé plus d’une personne, mais mon absence d’instinct de survie semblait toujours aussi inexistant face à cette beauté fatale.  Bon petit bémol sa victime me cris d’appeler la police et me voilà repérer. Vraiment j’avais qu’une envie qu’il se taise. Et à ma grande surprise elle ne s’interrompt pas dans son acte mais rapidement je perçois plusieurs araignes monter le mur à ma rencontre.  Je comprends alors qu’en plus d’avoir une superbe voix, une superbe plastique, c’est aussi une femme avec un pouvoir. Décidément j’ai zéro sur vingt niveaux survit car mon réflexe a été d’activer mon feu et de me dessiner un dragon chinois dont les traits était particulièrement bien connu pour moi maintenant, d’une taille correcte, assez pour supporter mon poids et voler dans le vide tranquillement, il se place derrière moi tranquillement. Ce que j’aime avec cette créature est qu’elle n’est pas spécialement menaçante… elle ne crache pas de feu comme les dragons européen, mais en est pas moins dangereuse à sa façon.  Enfin quoi qu’il en soit cet acte à visiblement attirer l’attention de la belle araignée qui a atteint ma hauteur en moins de temps que je ne le pensais. C’était vraiment plus impressionnant que prévu.  Pourtant je suis resté de marbre en la voyant et je lui ais gentiment proposé de continuer ce qu’elle faisait. Allons, je n’allais pas arrêter une tueuse en plein acte… ça serait vraiment suicidaire pour le coup.  J’ai donc attendu patiemment. Ce qui m’intéressait était vraiment plus sa voix que le reste, et la capacité que cela pouvait apporter. Je n’ai pas pour habitude de ne pas avoir ce que je veux alors cette fille aussi dangereuse qu’elle semble est celle que je veux pour accomplir mon objectif. Une fois son petit meurtre fini je me pose au sol faisant disparaitre le dragon mais pas l’activation de mon feu.  J’avais eu le temps de repasser dans mon esprit nombre de souvenir et celui qui avait tilte est celui des informations parlant d’une série de meurtre étrange… et vu le résultat de celui-ci difficile de ne pas se dire que c’était la même personne.

Cette femme m’a posé plusieurs questions, auquel j’ai répondu d’une voix calme avant de lui retourner un certain nombre de question également et la plus importante était de savoir si elle voulait changer de vie. Utiliser son véritable talent pour autre chose que de tuer des pauvres types dans un caniveau sombre. Je l’admets j’avais un instant oublier toutes les règles de survie que j’essayais de suivre. Et ne pas inviter une tueuse en série chez moi en faisais partie. Et bien je l’ai rompu. Mon objectif était plus important que le risque encouru. Et je ne sais pas elle semblait intriguée elle ne m’avait pas encore découpé avec ces pattes d’araignée, ni fait dévorer par les centaines de bestioles à huit pattes qui m’entourais par précaution alors peut-être que je pouvais lui faire changer d’avis sur sa vie… et ainsi acquérir un élément absolument indispensable à mes yeux pour la création d’un groupe.  Je tiens à préciser que c’est au cours de de cette conversation qu’elle m’a renommé kali, pseudo que j’utilise aujourd’hui comme chanteuse et dans ma vie de tous les jours.  Je me suis également permis de la renommer Mazikeen ou plutôt Maze.  

Afin de convaincre Maze que je n’étais pas juste une gamine arrogante sans peur, le lendemain de notre rencontre je l’ai emmené danser là où j’allais tous les jeudis et je crois que le petit tournois qui se tenais là ce soir-là à achever de la convaincre après que je l’ai écrasé à plat de couture.  Ce fut le début de notre vie à deux… et pour moi… d’une réduction drastique des petits boulots louche car maintenant il fallait bosser sur la création de musique, de chorégraphie et surtout d’une confiance entre une gamine de riche arrogante et une fille de la rue tueuse en série.  

Il n’y a pas grand-chose sur les deux années suivantes. J’ai continué mes études et avec Maze on a travaillé sur des musiques, des chorégraphies… mais le plus important on a préparé un concours de chant et danse fait dans l’état. Ce n’était pas grand-chose mais assez pour potentiellement se faire remarquer et se faire connaitre par la suite. Le jour de ma dernière épreuve du bac j’ai reçu un coup de fil de Scarlett.  Cela faisait 7 ans qu’on n’avait pas parler donc vous imaginez ma surprise ? quoi qu’il en soit à partir de ce jour, on est sortie des bas quartiers. Grâce à ma sœur qui avait acheté un loft. On a gagné le concours avec nos chansons et nos danses et ont su se faire remarquer.  Je dois dire que ma sœur nous a beaucoup aidé surtout maze pour lui fournir une nouvelle identité en faisant jouer ses contacts.
Sur nos premières années on a beaucoup travaillé, pour se faire connaitre de plus en plus, on a eu de plus en plus de sponsor et finalement les gens finissait plus par nous demander que nous à aller les démarcher. On a aussi passé notre permis et je me suis trouvé une passion pour la moto… les sensations son bien trop plaisante, alors certes ma première moto est classique tout comme notre première voiture mais je suis rapidement partie sur des chose… plus intéressante. A mes heures perdues je fais des courses de moto contra avis de mon manager… car de toute façon personne ne me dictera ma conduite star ou pas.  Je me suis aussi réconcilié avec mes parents, ce n’étais pas encore le grand amour certes… mais les chose était sur la bonne voie et surtout j’avais prouvé que je n’avais pas besoin de 10 ans d’études et une place au chaud dans l’entreprise familiale pour gagner ma vie.

L’année de mes 22 ans, je m’en souviens pour plusieurs raison… d’un mon mariage (mais je vais y revenir) et de deux… l’entré dans ma vie de Shadow. Un charmant petit tigre qui aujourd’hui est probablement le meilleur compagnon du monde.  Et puis il est tout doux donc c’est vraiment agréable… surtout pour Eve qui est faignante. Bref… comment je me suis retrouvé avec un tigre chez moi ? eh bien je cherchais une chose dans un marché noir (me demander pas quoi je ne m’en souviens pas). Je me souviens juste que Maze était en colère de voir des araignées enfermées et que ce petit tigre à pris la fuite par je ne sais quel miracle. Son bourreau l’a frappé comme pour lui rappeler sa place et la miaulement semi agressif de l’animal on fait… je ne sais pas comme écho en moi. Je ne suis pas quelqu’un qui a des relations prévisibles. Mais ce jour-là j’ai décidé d’intervenir usant pour cela de mon feu afin de me faire une arme.  Le problème… c’est que lui il avait un pistolet. Pour faire simple j’ai pris une balle dans l’épaule et lui à perdu son bras puis la vie.  Et au lieu de donner cette bête à l’autorité compétente… j’ai décidé de l’adopter. C’est ainsi qu’on a dû faire venir un vétérinaire et un médecin à la maison pour soigner deux têtes brulées.

Et c’est là qu’on en vient au mariage… enfin presque. Cela faisait un moment que j’avais passé la cape avec Maze… vous vous souvenez de notre premier concours… et bien… j’ai réalisé que les 4 ans passer avec elle (et à repousser gentiment ses avances) était probablement les meilleures de ma vie. Et ce jour-là c’est moi qui suis aller vers elle. Depuis notre vie professionnelle mais aussi de couple à trouver son équilibre et je voulais vraiment en faire ma femme.  Sauf que maze est une femme particulière… une femme classe mais aussi discrète et qui n’a pas tuer depuis longtemps alors que cela fait également partie de sa nature profonde. Alors… j’ai eu une idée improbable… lui ramener un homme à la maison. Pas pour la rendre jalouse non, non, juste pour qu’elle le tue et le mange. Pour lui demander de m’épouser. Le plan était simple… trouver une la cible parfaite, c’est à dire un homme qui n’a rien à perdre. Et en soit… ce n’était pas dure, j’avais encore des contacts des bas quartier et trouver la cible parfaite n’a vraiment pas été dur. J’ai juste dû mettre Eve dans la confidence… parce que cette araignée aurait couru tout raconter à Maze sinon.   Bref j’ai utilisé ma convalescence plus le fait que Maze avait encore du travail pour organiser ça. Et vraiment ça n’a pas loupé. Le soir où elle est revenue je crois que j’ai vu son visage passer de la colère à la surprise, la joie et surtout elle a accepté de m’épouser. Je passerais les détails de ce qu’est devenu cet homme. Par contre elle m’a offert une magnifique bague en or avec un dragon et des diamants et moi j’avais fait faire une bague avec une araignée et un rubis entre ses mandibules. Et je tiens à dire que ce fut surement le plus beau jour de ma vie, après le mariage évidemment !

Et ainsi la vie aurait pu continuer jusqu’à une fin heureuse. Mais la fin heureuse existe que dans un monde ou les monstres ne tuent pas les être qui nous sont cher.  Il y a deux ans mes parents en voyage d’affaire sont mort. Une attaque de manticore, cela n’avait rien spécialement contre eux. Ils étaient juste au mauvais moment au mauvais endroit comme dirait certains. Mais moi je n’étais pas prête. Quand ma sœur m’a annoncé la nouvelle… j’ai pris la fuite… littéralement.  J’ai senti qu’on m’arrachait mon cœur… la douleur n’est pas descriptible… j’ai été aveuglé par ma colère, la rage qu’un monstre, un vulgaire monstre… m’arrache mes parents. Je n’avais pas encore eu le temps de leur dire tout ce que je voulais.

J’ai alors disparu pendant une semaine. Et je peux résumer ça part… une chasse aux monstres. Je roulais des heures pour finalement tuer chaque monstre que je croise.  Sauf que je faisais plus attention à moi ni à ma douleur physique.  Et ce qui m’a fait sortir de ma torpeur... C’est une musique que j’ai entendu dans un bar.  Une simple musique… j’ai alors décidé d’en faire une reprise rapide avec ma voix et de la poster. Déjà pour remercier cet homme qui m’a littéralement sauvé mentalement… et surtout pour signaler à ma famille que je suis encore vivante.  Finalement j’ai reçu un appel de maze le matin même et l’entendre… c’est… plus intense que prévu et j’ai eu du mal à ne pas pleurer.  Mais finalement il était temps de rentrer, temps de retrouver ma femme et ma sœur.

Le retour à été plutôt dur…  Pour faire simple, c’est dur de revenir en ayant blesser ceux qu’on aime. Mais surtout je sentais en moi une rancœur qui est indescriptible. Et exprimer mon souhait d’anéantir les manticore de cette terre m’a fait le plus grand bien.  On s’est relever petit à petit et aze à même proposer de servir un dieu… Faut dire que l’idée en elle-même ne me conviens pas. Je n’aime pas les dieux, quel qu’il soit car si suprématie il doit y avoir ça sera pour moi pas pour des dieux disparu et oublié avec le temps. Cependant je suis forcé d’admettre, pour l’instant, que c’est ma meilleure option.  Alors j’ai dû l’oublier un peu mon arrogance pour me renseigner auprès des différents dieux. Et la déesse Artémis à trouver grâce à mes yeux… alors pas vraiment car je l’apprécie mais plus car elle est la déesse de la chasse elle protège les animaux (et Maze aime particulièrement ces aimes araignées) et potentiellement c’est la déesse la mieux placé pour m’informer de la présence de manticore… quoi qu’il en soi ma mise à son service c’est fait suite à la sortie de notre nouvel album. Et j’ai posé une condition… être informer de la présence de chaque manticore qui apparait car je compte bien éradiquer cette espèce de la terre… après je n’ai aucun souci à passer mes nerfs en attendant sur tout autre monstre ou humain qui dérange la déesse.