Une fois prête je me dirige vers l’aéroport le plus proche. En route vers Manaus… je ne sais pas ce qui est le plus improbable vivre dans cette forêt ou savoir qu’il y a un aéroport dans cette forêt ? Quoi qu’il en soit je sais que Nazel, lui déteste les voyages en avion. C’est vrai que l’obliger à passer des heures enfermées dans une cage ne me réjouit pas, mais plus vite je suis là-bas et plus vite je pourrai rentrer chez moi.
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La barbe ! On m'avait confié une mission ! Apparemment j’étais le mieux placé pour effectuer cette mission, une question de flair je crois ! Il m’avait pris pour son chien limier ou quoi ? Je pouvais pas lui dire non, il m’avait accueilli et il acceptais même de me garder au campement alors que certains se plaignais que je foutais rien dans le campement alors, je pouvais bien faire ça, même si ça me gonflait un peu de devoir me déplacer en Australie pour ça ! J’avais donc mis en tas des affaires dans une valise puis j’avais pris mon billet d’avion et j’étais donc parti pour l’aéroport. On me fis attendre 1 heure, c’était long surtout que je ne pouvais pas me permettre de m’endormir car je risquais de m’endormir et de raté mon avion, ce qui pouvait être problématique. Du coup, j’étais resté debout à attendre comme un con. J’étais donc d’assez mauvaise humeur quand ce fut enfin l’heure d’embarquer. Je grogna quand on osa me demander d’enlever ma capuche, je crois qu’il comprit qu’il fallait pas trop m’embêter… Bref, je fini par embarquer dans l’avion, je mis mes affaires au dessus de moi, je m’assis à ma place et m’endormi, je ne vis même pas le décollage.
En retard ! j’étais en retard ! Il avait fallut qu’on me réveille après l'atterrissage et apparement, ils avaient eu du mal à me réveiller et il s’était rendu compte de ma présence pratiquement 30 min après l'atterrissage. Du coup maintenant, je devais trouver le point de rendez-vous avec les héros qui m'aiderait à ramener les vaches. Je tenta de m’y retrouver, marchant tranquillement et demandant mon chemin aux gens. J’avais de la chance, je parlais anglais, c’était plus simple pour se faire comprendre d’eux… On m'indique donc comment aller jusqu'à la-bas.
C’est donc avec pratiquement une heure et demis de retard que je me pointa vers le port ou nous devions nous rencontrer pour parler de notre mission. J’avais toujours ma capuche sur la tête, je préférais éviter de créer une espèce de mouvement de panique dans le pays, certaines personnes avait tendance à me confondre avec un monstre et c’est quelque chose que je préférais éviter. C’était pareil pour mes collègues, j’ignorais quel réaction ils auraient en découvrant mon apparence alors, j’avais décidé de caché ça pour le moment. j’avais aussi une petite valise jaune que je trainais derrière moi. J’ignorais qu’elle heure il était mais, j’avais bien envie de me recoucher. Je finis par apercevoir deux personnes, une demoiselle avec une chevelure flamboyante et un bel homme habillé en pirate. Vue la dégaine, c’était sûrement eux que je devais voir. Je remua les oreilles sous ma capuche et la remis bien en place pour cacher mon anatomie de lion, ma queue elle était cachée dans mon pantalon.
Vous êtes là pour la mission d’apollon ?
Je devais sûrement paraître malpolie mais, je voulais être certain de ne pas m’être trompé avant de les saluer. J’avais le visage des mauvais jours. Quand j’eu la confirmation de leur indentité je dis donc:
‘jour…
Je croisa les bras, attendant qu’on puisse en finir avec tout ça.
Si Apollon savait garder ses vaches !
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Le capitaine voyait un avantage à cette mission, il était écrit nul par sur le papier, qu’il ne pouvait tuer personne. Et ça, c’était le pied total, un défouloir rêvé, juste au moment où il venait de quitter une femme magnifique, à contre cœur. Un peu furieux, mais également un peu pressé de pouvoir frapper, le capitaine attrapa la barre et ordonna à ses hommes de sortir toutes les voiles, afin de prendre la direction de l’Australie. Le vent soufflait fort dans les voiles, comme si Poséidon était derrière eux, encore une fois.
Le trajet ne fut pas aussi long que celui qui l’avait conduit jusqu’en Inde, et déjà le navire arrivait à Sydney, proche de la base d’Aphrodite. Le jeune homme espérait ne pas tomber sur elle pendant sa mission, pendant qu’il descendait sur le quai. Un simple coup d’œil parmi les passants qui le dévisageait, lui avait suffi à repérer une des personnes qui devait faire la mission avec lui. Il se dirigea donc vers la jeune femme, son épée attirant autant l’attention qu’un pirate.
« - Vous êtes là pour les bovins vous aussi ?»
Lui faisait une légère révérence, il se présenta à elle.
« - Capitaine Edward Silverback, disciple de Poséidon.»
Il allait lui demandé si elle avait hâte de retrouver les voleurs, quand une silhouette s’approcha d’eux. Sans politesse, une voix d’homme sortie de sous cette capuche, leur demandant s’ils étaient là pour la mission. Le pirate fit un simple mouvement de tête, pour confirmer, avant de le saluer. Il vint ensuite frapper son poing gauche, dans sa main droite.
« - J’espère que ces vermines sont prêtes, pas question que je les laisse en vie…»
Le regard du capitaine brillait et son sourire était celui d’un requin. Il avait vraiment hâte de pouvoir se dégourdir un peu et de faire couler le sang d’incapable.
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Les deux coéquipier qu’on m’avait attribué semblaient tout aussi ravis que moi d’être là pour cette mission, le 1er, le beau pirate n’avait l’air de vouloir qu’une seule et unique chose: se battre par contre, les vaches d’apollon, il semblait en avoir rien à faire, bah, j’allais pas lui en vouloir pour ça, moi même, j’en avais pas grand chose à faire non plus. Je venais de me réveiller pratiquement, c’est surement pour ça que je m’étais même pas aperçu que je m’étais montré mal poli. La 2éme personne avcec qui nous étion est une femme a la chevelure flamboyante qui pour une fille était quand même vachement joli ! Nous étions au complet, la demoiselle proposa donc qu’on commence directement la mission, j’étais pas contre, plus vite on commence, plus vite on en aurait fini avec ça.
Pas ici en tout cas, ça pue toute sorte d’odeur mais clairement pas les vaches d’apollon
J’avais hate de quitter cet endroit nauséabond. Par chance, la demoiselle ne semblait pas vouloir rester ici non plus car, j’avais même pas commencer à parler qu’elle commençait déjà à marcher. Je la suivis, une main tenant ma capuche, on attiré déjà assez les regard, pas besoin qu’en plus je retire ma capuche. Parfois tout en marchant, je lever la tête pour renifler l’air
Hum…
J’avais senti un instant l’odeur des vaches… mais l’odeur était rapidement parti… c’était étrange…
C’est par là !
Je pointa du doigt la direction d'où provenait l’odeur, bon c’était pour le moment pas d’une précision légendaire car les vache était possiblement loin et que j’avais senti l’odeur très peu forte et surtout très rapidement.. je me demandais ce que ça pouvait signifier, j’éspérais en tout cas que ça ne voulait pas dire que les animaux se déplacer sinon, on allait galéré un max pour les retrouver et j’avais pas envie d’y passer 5h. je bailla bruyamment, tout ça m'ennuyer bien.
Je peux pas vous donnez plus de précision, c’était rapide et trop faible pour que je puisse vous dire plus exactement pas ou ça venais.
Je m’étais pas embarrassé à leur expliquer comment je faisais, je les pensaient assez intelligent pour comprendre qu’il s'agissait de mon pouvoir, enfin en partie.
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« - Eh bien… que la traque commence alors.»
La joie pouvait largement se lire sur le visage du capitaine, qui prenait cette mission comme un jeu. Il commença donc à suivre leur limier de fortune, qui avait répondu à la question de la flamboyante chasseuse. Lentement, en s’éloignant du port, le pisteur les conduisait vers la piste du bétail. Peut-être un peu trop lentement, surement, car il avait fini par s’arrêter, en leur expliquant qu’il avait perdu la piste.
« - Rapide… et faible… du genre, comme le camion de marchandise qu’on a croisé plusieurs fois en chemin ? Ca expliquerait pourquoi tu as perdu la piste avec le temps. Par contre…»
Edward désigna un bâtiment un peu plus loin, portant le même logo que le camion qu’ils avaient croisé.
« - Je crois que tu as fait du bon boulot. C’est juste que maintenant, le bétail est caché.»
Aussi discrètement que possible, le capitaine s’avança vers l’entrepôt, espérant que les autres allaient le suivre. D’un coup d’œil rapide, il put voir des hommes garder les portes d’entrées, comme si quelque chose d’important s’y trouvait.
« - Je crois qu’on a vraiment trouvé la bonne piste. Mais je suis un peu triste de ne voir aucune arme…»
Les voleurs avaient l’air d’être des amateurs, le genre a sauté sur la première opportunité qui passait. Mais ce n’était pas une raison pour être clément avec eux, après tout c’était entièrement de leur faute s’ils n’avaient pas compris que les vaches appartenaient à Apollon.
« - Alors, on la joue comment ? Discret, mais pas de quartier, ou bourrin, mais pas de quartier ?»
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Je ressentis une certaines fierté et un certains plaisir à entendre le jeune homme me dire qu’il avait l’impression que j’avais fais du bon travail. J’avais pas mal de défaut, il fallait bien l’avouer et je passais plus de temps à dormir et manger que faire mon travail mais, quand on m’envoyais en mission, je prennais ça très au sérieux et mes réflexes ainsi que mes instinct de félins avait souvent aidé. Le jeune homme nous fis signe de le suivre discrètement, Je souris au jeune homme et fis un léger sourire arrogant à ce dernier avant de lui dire à voix basse:
Parceque tu as besoin d’arme pour en découdre avec des gens ? Pour ma part, un bon coup de dents suffit largement !
Bon, j’avais pas précisé que moi, mes dents était pourvue de crocs contrairement à la plupart des gens. Le jeune homme se prénommant Edward semblait a avoir hate d’en découdre visiblement. Il ressemblait presque à un gamin devant un superbe jouet ou une vitrine remplis de bonbon, c’était un poil effrayant. La demoiselle elle semblait amusée de voir que ces types étaient aussi idiot. Ca ne m’étonnais pas tellement, ces types n’était pas censé savoir qu’ils auraient avec eux quelqu’un capable de sentir les vaches. Enfin de toute façon c’était clairement des débutants. Ils étaient quand même sacrément bien con si il pensaient s’en sortir facilement, apollon était furax. Ces types étaient même pas armée, clairement, ils allaient pas faire long feu devant ce type. La demoiselle proposa une stratégie qui me semblait plutôt pas mal, maitrisé les hommes discrètement pour combattre plutôt à l’intérieur afin d'éviter les pertes civiles. Quand la stratégie fut validé, on se mis en place. j’attendis le feu vert pour sauter sur l’ennemie et l’assommer d’un coup sec, car contrairement à Edward, je ne comptais pas tuer ces types. Bon par contre le soucis, c’est qu’il allait falloir trouver un endroit ou le mettre pour qu’il ne gêne pas si jamais il se réveille. En tout cas, il fallait au moins le mettre à l’intérieur, on pouvait pas le laisser dehors à la vue de tout le monde.
Tenant l’homme évanoui dans une main, je risqua un œil par l'entrebâillement de la porte. J’aperçu quelques hommes, visiblement tous occupé.. Visiblement, ces idiots n’avaient pas prévue l’attaque et ne surveiller la porte d’entrée que de l’extérieur comme-ci c’était amplement suffisant. En tout cas , ça nous arrangais bien. J’étais accroupis par terre si bien qu’un oeil très attentif pourrait apercevoir le bout de ma queue de lion qui trainer par terre. Un œil attentif pourrais remarquer que j’étais en sandales aussi mais ça, c’était surement quelque chose que la personne l’aurait déjà remarqué. je profita d’un moment ou j’étais sûr qu’on ne me vois pas pour rentrer, faisant signe à mes camarades de me suivre, maintenant qu’on avait lancer l’attaque, il fallait faire vite.
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« - Et après, c’est moi qu’on traite de barbare. En tout cas, j’ai hâte de voir ça.»
Essayant d’être discret, le jeune homme laissa ses complices s’occuper des gardes. S’il n’avait pas fait attention à la technique de la jeune femme, il avait noté que Kehphren préférait assommer, plutôt que tuer. Le terme « amateur » apparu naturellement dans l’esprit du tsunami, qui ne comprenait pas pourquoi les gens ne voulaient pas tuer, même quand l’adversaire le méritait totalement. Puisque l’entrée était maintenant libre, le pirate espérait que le silence ne serait plus de la partie, surtout qu’avec son feu, le silence était son pire cauchemar… avec le Léviathan bien sûr.
Alors que le chasseur regardait par l’entrebâillement de la porte, il laissa s’échapper un drôle de truc de sous ses vêtements. Pourtant, le pirate ne fit aucun commentaire, chacun avait ses secrets et ses pouvoirs, mais ça expliquait au moins pourquoi il utilisait ses dents. En revanche, le jeune homme commençait vraiment à en avoir marre de ne rien faire, et attrapa un caillou avant de rentrer dans le bâtiment.
« - On va leur faire un petit cadeau.»
Edward lança alors le caillou dans un coin, avant d’utiliser son feu sur le son qui en provenait. Des échos se formèrent un peu partout dans le hangar, perturbant les hommes, au plus grand plaisir du tsunami.
« - Perso, je ferais pas d’quartier !»
Il se lança ensuite sur le premier des hommes, l’embrochant de son sabre, tout en envoyant une vague sonore sur les autres.
« - Vous avez volé les mauvaises vaches les amateurs !»
Un sourire large et carnassier sur les lèvres, le capitaine jubilait déjà du combat à venir. Seul point négatif, les voleurs n’avaient pas d’armes à feu, ils n’opposeraient donc que peu de résistance.
« halloween »
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Premièrement je dois admettre, que ce que fait Edward est impressionnant. C’est vraiment classe de pouvoir déstabiliser des ennemis justes avec un cailloux et un peu de magie. Deuxièmement tuer ces débiles me va parfaitement…. Aux moins ils n’essayeront pas de voler de nouveau les vaches d’Apollon. Edward est déjà parti dans le combat. Je ne tarde pas à le suivre accumulant une fois de plus les molécules d’eau pour en faire une lame de glace. Je ne compte pas salir ma précieuse épée pour des moins que rien… Je tranche le premier qui me passe sous la main. Ils sont nombreux mais pas armé donc ça sera une promenade de santé.
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Les deux personnes avec moi semblaient bien décidé à tuer tout ce petit monde, pour ma part, je m’y refusais toujours, c’était des humains pas des monstres et j’étais persuader que tuer n’étais pas la chose à faire. Si je devais être amenné à tuer, c’est que je n’avais pas eu le choix. Je savais qu’ils ne comprendraient pas et je savais que je ne pourrais les empêcher de tuer. Je sauverais donc un peu de monde en les assommants. Les pouvoirs de mes deux compères étaient très impressionnants, bien loin de mon propre pouvoir.
Pour ma part, je me mis donc à assommer les types et les assommés. Ces type n’avaient même pas d’armes à feu… c’était tout de même étrange. Il falait réfléchir… on avait peut être rater quelque chose. J'assume un homme que j’attacha puis je m’arrêta et me releva, reniflant l’air, essayant de repérer une odeur étrange qui me révélerais un piège ou quelque chose… ces types s’attendaient sûrement à notre arriver, c’était louche que tout soit si facile. Pour le moment , je n’arrivais pas à trouver quoi que ce soit, l’odeur du sang était plus forte que tout, entêtante, gênante. Je grogna, agacé de tout ça.
Tout ça est beaucoup trop louche...
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Après ce petit massacre, le jeune homme essuya la lame de son sabre sur l’un des cadavres, avant de retrouver les autres membres de l’équipe.
« - Voilà, tout le monde est neutralisé. On n’a plus qu’à récupérer le troupeau, le charger sur mon navire et prendre la mer, direction… vous préférez l’Amérique du sud pour le confier à Artémis ou qu’on les dépose directement chez Apollon, en pleine ville ?»
Pour le pirate, ça ne changerait rien à sa mauvaise humeur, surtout en devant transporter du bétail, plutôt que des marchandises. En revanche, le trajet serait bien plus long, selon le choix de ses camarades.
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Ils continuaient de tirer partout et de tuer tout ce qui bouger, ça me mettais mal à l’aise. C’était vraiment des héros ? Les héro n’étais pas censé aider les humains ? c’était normalement pas fait pour les massacrés, là, j’avais juste l’impression d’être avec des assassins. Que se passerait il si il découvraient mes oreilles de lion ? Penseraient ils que je suis un monstre ? Peut être qu’ils sen prendraient à moi et me tuerais comme pour toutes ces personnes ?
Je replaca bien ma capuche, stresse à l’idée qu’ils puissent jeter un coup d'œil en dessous. J’avais aucune confiance en mes collèges. Finalement, plus personne autre que nous capable de nous battre, les autres étaient tous capturer ou décédé. Je reviens vers eux, un peu sombre, le pirate était en train de parler.
Neutralisé.. mouai
Executé aurait été un mot plus juste mais je préféra ne rien dire.Le jeune assassin proposa plusieurs chose pour ramener les vaches.
m’en fou tant que je peux faire la sieste quelque part… Mais, elle va devoir rendre les vaches toutes seule, il me semble qu’artémis est pas fan de ce qui ont quelque chose entre leur jambes après vous faite comme vous voulez.
Je doutais qu’il m’écoute de toute manière donc autant les laisser décider, ce serais moins prise de tête. Je baille.. J’avais qu’une hate, m’endormir et rester loin d’eux.. d’ailleurs j’allais devoir faire gaffe, avec eux, je préféré évité de m’endormir n’importe ou.
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« - Vous savez quoi, j’irai là où j’aurai envie de les déposer, surement plus proche de la Nouvel-Orléans, pour qu’Apollon puisse récupérer son troupeau rapidement. Et, comme je suis le capitaine, aucun ne vous deux n’a son mot à dire sur cette décision.»
Sur ces paroles, le tsunami chercha un moyen de faire avancer les bovins, voulant en finir rapidement sur la terre ferme, pour retrouver son territoire, l’océan. Bien sûr, le groupe ne passa pas inaperçu dans la ville, déjà pour les même raisons que l’aller, une fille tout en noir et armée jusqu’aux dents, un type pas du tout louche qui se cache derrière une capuche alors qu’il faisait chaud et un gars habillait comme un ancien pirate épée comprise, mais la jambe de bois en moins.
« - Vous ne devriez pas avoir trop de mal à reconnaître mon navire.»
Fier comme tout, le pirate avança jusqu’à son navire, ses hommes préparant déjà la soute pour y accueillir les vaches d’Apollon. Autant dire que le voyage ne serait pas agréable pour elles et plutôt malodorante pour l’équipage.
« - Mes hommes ont pour consignes de se tenir tranquille en présence de passagers, donc vous ne serez pas accostés par des hommes ou des femmes. Mais s’il y a un souci, il ne faudra pas hésité à me prévenir, que je punisse le fauteur de trouble. Je pense que lui faire nettoyer la cale le fera réfléchir. Pour dormir, vous avez le droit à des cabines. Ce n’est pas le grand luxe, parce que ce n’est pas la croisière s’amuse ici, mais c’est suffisamment confortable pour dormir. Par contre, si vous avez le mal de mer… bah je ne peux rien faire pour vous, je n’ai jamais eu ce problème.»
Une fois les animaux embarqués, le capitaine commença à donner ses ordres, prenant la barre le temps de quitter le port. La traversé saurait longue par rapport à des transports plus modernes, mais bien moins qu’à l’époque du navire, Poséidon étant toujours là pour ses hommes.
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