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Tsunami
Aurora S. Bishop
Renaissance de l'Aube - Terminé 7ok9

Aurora Sybil Bishop


Renaissance de l’Aube



Genre : Féminin.
Âge : 32 ans.
Origine: Anglo-Galloise.
Sexualité: Pansexuelle.
Renaissance de l'Aube - Terminé Ajje
Nom du Pouvoir : Le sourire d’Aphrodite.
Camp : Tsunami.
Dieu Référant : Aphrodite.



Physique


Taille : 1m56.
Corpulence : Grâcile, apparence fragile de poupée malgré une silhouette plantureuse, et une finesse de la taille que la gourmandise épaissira plus tard, à force d’ans, de gâteaux à la crème et de cocktails trop sucrés.
Cheveux : Longue cascade de boucles qui se mêlent à la soie de ses rubans et au satin de ses jupes, leur blondeur châtaigne s’éclaire de lueurs de miel et d’ambre quand les rayons du soleil s’y entrechoquent. Leur teinte et leurs ondulations peuvent varier au gré de son pouvoir d’attraction, mais, toujours, lorsque la Lune berce le monde, elle semble auréoler la toison sublime d’une pluie de poussière d’étoiles.
Yeux : Eclat mordoré d’une feuille de chêne tombée au vent d’automne, nervurée de ces stries d’or et d’ambre qui parsèment ses prunelles à mesure que son charme agit. La prunelle semble étinceler dans un chatoiement d’or lorsqu’elle déploie l’intensité magique de ses charmes. La teinte peut complétement changer au gré des goûts de la victime, se muant de la gravité d’un ciel d’orage à la joie éclatante du reflet d’azur d’un lac en été, à l’émeraude des forêts giboyeuses qui sillonnent son Pays de Galles natal.
Signes distinctifs : Une cascade de bijoux et de breloques qui, dans une symphonie claironnante, tinte à chacun de ses pas légers. Un parfum sucré, presque entêtant, qui suit son sillage et le parsème de pétales de rose et de violette. Un pendentif en forme de coquillage, offert par Aphrodite, et dont elle ne se dépare jamais.
Style vestimentaire : Le satin, la tulle et la soie s’amoncèlent, en nœuds qui surplombent ses boucles, à ses jupes qui claquent à ses genoux et ses chevilles. Blancheur de nacre des dentelles, roses tendres et délicates teintes pastels pour jupons et corsages, robes écarlates, escarpins vertigineux, lamés, sur lesquels elle perche sa petite silhouette de poupée grâcile. Digne enfant de la divine mère de l’Amour, toujours prête à user du pouvoir conféré par l’immortelle matriarche, ses yeux se réhaussent de fard d’encre, ses lèvres comme dessinées au crayon peintes au cramoisi, et ses joues délicates rebondies par la poudre d’un rose délicat dont elle parsème ses pommettes tendres.


En bref


Qualités : Rêveuse / Lunaire / Bienveillante / Généreuse / Affectueuse / Passionnée / Empathique / Enjouée / Optimiste / Loyale / Aimante
Défauts : Paresseuse / Etourdie / Insouciante / Ecervelée / Immature / Gourmande / Légère / Superficielle / Inconstante / Irresponsable / Brouillonne

Description du pouvoir :
Le souffle d’Aphrodite
Humble servante d’Aphrodite, et de sa volonté d’insuffler au cœur des Hommes ses valeurs premières, beauté, séduction et attrait, Aurora maîtrise et se passionne pour ce don qu’elle a de sublimer la beauté des autres. Capable de distiller des fragrances qui permettent d’influencer les émotions, apaisant au besoin les tensions, à contrario exacerbant la colère, ou insufflant la joie et la tendresse dans le cœur des Hommes. Les potions, baumes, lotions et parfums qu’elle concocte ne trouvent pas de rivalité sur le marché des cosmétiques et ont largement contribué à sa fortune et à sa réussite. Il s’agit là du pouvoir qu’elle préfère et entretient, passif, bienveillant, servant sa déesse matriarche par cette empathie et cette douceur qui la caractérise, en aiguisant le beau qu’elle voit chez tous. Ce don d’influencer les émotions des gens n’a jamais été utilisé de manière malveillante, Aurora préférant de loin apaiser le cœur des autres et n’insuffler que cette joie et cette insouciance qui la caractérise.
Arme OU accessoire : Le sourire d’Aphrodite
Les lèvres écarlates s’étirent, et la magie opère. Une métamorphose partielle, insufflée par le collier de nacre et d’or en forme de coquillage qui retombe sur sa gorge blanche. Et la cascade de boucles peut se parer de l’or d’un champ de blé qui se dore au soleil d’été, de l’ébène des ailes d’un corbeau survolant un ciel d’orage, de la teinte flamboyante de flammes lascives dansant au cœur de l’âtre d’une cheminée un soir d’hiver. Ses prunelles d’ambre se muent à loisir en l’azur profond du reflet d’un lac de haute montagne au printemps, à la châtaigne profonde de feuilles de chêne tombées au vent d’automne, à l’acier de nuages lourds de pluie qui menacent de crever sur la tête ingrate de la plèbe mortelle qui sillonnent la terre des Dieux. Pouvoir offert par la déesse mère Aphrodite, qui trouve sa limite lorsque se brise le contact visuel, et puissance qui s’amenuise en fonction de la force de caractère de la victime qui lui fait face. De même, son reflet se dépouille de tous ses artifices, et, à la crudité de la lueur d’un miroir, ou à la surface des eaux paisibles d’un Poseidon pour temps dépossédé de sa colère, elle apparaît telle qu’elle est, belle mais sans magie, nue de ces charmes qu’elle-même ne contrôle pas, et qui se manifestent à la guise des goûts inconscients de sa victime.  A noter qu’il ne fonctionne également qu’en fonction de l’orientation sexuelle de la victime. Son pouvoir n’aura aucun impact sur celui ou celle qui n’est pas attiré par les femmes. L'activation se fait lorsqu'Aurora pose les lèvres sur le pendentif, et pour un laps de temps plus ou moins bref. Le reste du temps, il est inactif et la jeune femme ne peut apparaître que telle qu'elle est aux yeux des autres.



Mental


Des éclats de rire, des sourires et des battements de cils. Les bienveillants la qualifient d’étourdie, les méchants et les jaloux de joyeuse idiote. La solaire Aurora ne s’alanguira jamais dans les méandres des passions sages, sèches et poussiéreuses des livres et des études. Préfère s’étourdir de fêtes, d’alcool et de soie, s’étioler au bras d’amants, se consumer à la fureur de passions vécues dans toute l’insouciante légèreté qui lui donne cet aspect de tornade de fraîcheur et de soleil, qu’elle semble essaimer sur son passage et sous ses pas. Aurora virevolte et papillonne au gré de désirs frivoles, passionnée par nature, heureuse par instinct. Survole tout mais n’approfondis rien, inconstance charmante ou exaspérante, vis à mille à l’heure, sa curiosité volatile change de but aussi vite que d’amant. Jamais mesquine, jamais malveillante. C’est une frivolité joyeuse qui la jette de bras en bras, une soif d’amour et un appétit de vivre, vorace mais plein d’une affable générosité, un plaisir de séduction et d’échange dépouillé de toutes ces vicissitudes. D’une loyauté sans failles, ses affections restent solides, malgré la brièveté de ses passades. Les liens noués avec Aurora restent solides, façonnés au ciment brut de son cœur immense et de la pureté solaire d’une bienveillance instinctive. Patronne aimée et respectée, amante chérie et amie appréciée pour sa droiture et son sens du sacrifice. Incapable de méchanceté, elle se satisfait des plaisirs simples de l’existence, sans jamais jalouser personne, se délecte à paresser des heures dans des bains chauds amoncelés de mousse parfumés à la violette, à siroter d’épais chocolats chauds ou des cocktails bourrés de rhum et de fruits, à dévorer des muffins et des madeleines sous un plaid devant un feu de cheminée. Son premier et unique amour reste sa mère, indéfectible affection immature pour la bienveillante matriarche qui a géré seule l’éducation de son enfant unique. Les vagues souvenirs de la lâcheté paternelle balayées d’un haussement d’épaules joyeux et indifférent, absence comblée par la sollicitude de la replète petite femme rédactrice d’articles de cuisine pour un journal gallois, son sempiternel tablier à dentelles nonchalamment noué autour de sa taille replète et les effluves de cannelle dans ses cheveux blancs de farine et d’ans suffisant à arracher un sourire attendri à son unique enfant. Paradoxe à la joie immense que lui confère l’amour maternel, la peur de la perdre, abyssale, irraisonnée, la plonge dans des abîmes d’effroi, fait tressaillir ses douces nuits d’affreux cauchemars, la réveillent au bord de la crise d’angoisse, se refuse, dans cette immaturité affective qu’elle ne surmonte pas, à accepter l’inéluctable ; à ne pas voir les cheveux qui blanchissent un peu plus à chacune de ses visites, à son pas qui se fait plus lourd, à sa mémoire qui défaille un peu plus. Unique drame de sa vie qu’elle n’évitera pas mais qu’elle n’en peut plus d’appréhender, unique raison peut-être qui rendrait offensive, terrifiante et incontrôlable la douce, aimante et fantasque Aurora.


Histoire


Le satin blanc claque au vent qui s’égosille. Les rubans de soie s’ébattent sur le sillage de la fille de l’Amour, semblent répandre ses grâces, nonchalamment offertes aux Dieux et à la Nature à laquelle elle se soumet en riant. La poupée de chiffon virevolte au gré du vent, qui semble hurler sa rage du monde et des hommes, balaye sa cascade de boucles qui, éparses, flottent autour de son visage blanc. Auréole blafarde, blondie par le pâle éclat de la Lune, et la douce lueur de la myriade d’étoiles qui poudroie au creux de la merveilleuse toison qui folâtre au gré du pas léger d’Aurora. Et les embruns de sel se mêlent aux effluves de rose qui s’égrènent sous sa danse lascive, hymne à l’alliance douce-amère de Poséidon et d’Aphrodite, concrétisée pour le bien des hommes et la sauvegarde des éléments de Dame Nature que leur ingratitude tendait à négliger. Reconnaissante, l’enfant de la Grâce s’immolait à la hargne du souffle marin, laissait l’écume immaculée des vagues mugissantes fouetter de leur fraîcheur saline les pieds nus qu’elle enfonçait au creux du sable blanc. La nuit, de son écrin de sépulcre mouchetés d’astres étincelants, abritait la fureur de vivre de la belle écervelée qui se complaisait là, sur la rive de son Eden, retour aux sources infantiles qui avaient bercé les plus jeunes et les plus jolies années de son existence.

Aurora était heureuse, pourtant. Comblée même. Comme elle était loin la petite échoppe londonienne, perdue dans les méandres de ruelles malfamées, enclavée entre une petite épicerie et un bureau de tabac ! Le talent et la passion, mêlés à l’aura de l’enfant d’Aphrodite, au service d’une renommée et d’une petite fortune sur laquelle elle s’asseyait désormais avec un grand sourire, elle, ses lèvres écarlates et ses amoncèlements de bracelets et de chaînes en or, ses appétits de sucre et de cocktails délicieux, et ses goûts pour les massages luxueux. Sa lotion capillaire, véritable petit miracle confectionné par ses doigts de fée pétris de cette magie insufflée par la matriarche divine, avait été la clé de voûte de la popularité de sa gamme de produits cosmétiques. Le petit baume à l’essence de violette avait sonné le glas de l’avènement de la jeune femme, aujourd’hui propriétaire triomphante d’une luxueuse boutique sur deux étages dans le célèbre quartier de Mayfair.

Et pourtant ! L’exaltation de la jeune femme ne trouve son apogée que sur cette rive fouettée par l’écume mugissante de Poséidon, léchant la petite bande de sable blanc égrené par les embruns de sel pour former ce tourbillon au fond duquel Aurora s’alanguissait avec la même ferveur que lorsqu’elle venait y jouer, enfant. La petite chaumière avait toujours la même allure de boudoir réconfortant et, lorsque les joues rosies par le froid, elle y entrait avec un immense sourire, c’étaient les mêmes effluves de cannelle qui se dégageaient du même chocolat chaud qui l’accueillait, les mêmes scones à la crème, et le même tablier usé aux bords qui ceignait la taille replète de l’adorée mère. Son monde tout entier dans l’écrin de cette chaumière, au bord de cette plage galloise battue par les vents ; son centre de gravité dans cette petite femme aux cheveux parsemés de blanc, et aux coins des yeux striés de rides lorsqu’elle riait désormais.

Beaucoup auraient été plus tristes qu’elle, pour son père, quand Aurora n’a souvenance que des longs doigts qui s’agitaient avec une grâce agile, folâtre, sur le piano du quatuor de jazz dont il avait été le pianiste. Il n’y avait que les réminiscences de ses petits souliers qui claquaient sur le plancher de bois, battant la mesure avec la frénésie juvénile de son jeune âge, de sa petite jupe à plis jaunes qu’elle faisait tournoyer entre les tables des clients, de l’enfance encanaillée aux embruns âcres de tabac, aux baisers que donnaient les belles dames fardées aux messieurs en smoking, aux fonds de verre dans lesquels elle trempait les lèvres en cachette, plissant son petit nez sous l’âpreté du rhum, mais ravie de cette satisfaction d’enfant qui sait avoir goûté à quelque chose d’interdit. Et les effluves d’œufs frits, de bacon et de pancakes qui s’évaporaient de la cuisine, surprenant les quelques esseulés qui cuvaient là, et qui réveillaient la petite fille affamée, assoupie sur une banquette de cuir.

Une autre femme, sa mère lui avait dit. Et la régularité des nouvelles s’est espacée au fil des mois, quand Aurora s’est surprise à s’en moquer. Sa mère avait retrouvé son Pembrokeshire natal, la fillette dans ses valises, et son talent culinaire lui a valu la confiance d’un journal local, qui lui octroie la rédaction de la page entière dédiée aux recettes de cuisines. Lui est resté le vague sentiment que les hommes partaient, amertume qu’elle chassait d’un rire ou d’un revers de main. Elle s’est accoutumée à n’avoir besoin que de sa mère, de la farine dans ses cheveux qui la vieillissait, de son tablier blanc qu’elle nouait autour de ses hanches larges, du sillon au coin de ses yeux lors qu’elle riait. Son centre de gravité dans cette petite femme qui sentait la cannelle et le pain chaud, et qui riait aux éclats lorsqu’elle lui plantait un baiser sonore sur la joue. Son alpha et son oméga, et qu’importait la lâcheté de Papa, quand le sourire de sa mère accueillait chacun de ses retours triomphaux. Son père pouvait bien partir aux oubliettes. L’affection maternelle s’exacerbait dans sa lâcheté. Qu’avait-elle besoin de celui qui avait préféré une autre à sa mère, à elles deux ? Pas même une rancœur, pas même un vague à l’âme. Les jours heureux s’écoulaient maintenant, sans lui, mais avec tout ce qui comptait vraiment, au fond.

Quelque chose se passait pourtant, et ce malgré son indifférence folâtre et ses passades insouciantes. C’est à l’adolescence que même la poupée écervelée qu’était Aurora commença à s’interroger. Si elle ne découvrait pas vraiment qu’elle était jolie, il y’avait de ces réactions troublantes sur son passage, qui devaient faire sourciller même la plus évaporée et la plus insouciante des jeunes filles. Au lycée, sa présence au beau milieu d’une chamaillerie stupide d’un triumvirat d’adolescentes s’était apaisée soudainement avec son irruption, et les effluves soudaines d’une fragrance douceâtre de rose sauvage, piquée de quelques embruns de violette. Aurora avait froncé les sourcils une seconde, puis avait souri de concert avec les harpies désormais réconciliées.

Elle l’avait presque oubliée, cette expérience troublante, et ces effluves de rose, lorsqu’elle se réitéra. Cette fois-ci elle avait quinze ans, et Morgan était le plus beau garçon du lycée. Avec ses grands yeux noirs et ses airs timides, elle s’était mise en tête de parader à son bras au bal de fin d’année organisé par l’établissement. Aussi lorsqu’elle avait planté ses prunelles d’ambre dans le tréfonds d’encre de son regard à lui, au détour d’un couloir, elle n’avait pu l’ignorer, cette rafale de jasmin et de magnolia, réhaussée par une pointe de fleur d’oranger, qui leur avait embrumé les sens à tous les deux. Même, dans les abysses surpris et pudibonds du regard d’encre, elle avait perçu une tendresse soudaine, inexpliquée, et sa jupe de tulle couleur champagne avait virevolté au gré de son bras ce soir-là.

Les exemples se multiplièrent, des peurs maternelles de l’orage apaisées par une essence de cannelle et de miel, aux rivalités et franches inimitiés étiolées à la faveur d’un nuage d’iris et de chèvrefeuille. Et c’est lorsque la solaire Aurora commença à s’assombrir de ce qu’elle ne comprenait pas que lui fut offert par Aphrodite elle-même l'offrande sublime, et qu'elle avait recueilli  au creux de sa main tremblante d’émoi le pendentif de nacre et d’or, relique sacré qui aiguiserait son pouvoir et le devoir de messagère d’Aphrodite qu’elle se devait d’apporter aux Hommes.

Le don de la déesse sembla une résurrection à Aurora. Depuis elle n’eut plus peur, et ce qui relevait d’une nature instinctive et d’un besoin inconscient devint maîtrisé, calculé, aiguisé au fil des ans qui s’étaient égrenés à la manière des grains de sable des rives de son enfance souffletés par les ires terrifiantes de Poséidon. Aurora s’était décidée à partir, enfin, pour revenir souvent malgré tout, et le petit pot mauve parsemé de lettres d’or comme écrin de son baume capillaire miracle avait scellé au ciment frais les fondations de son empire. Le pouvoir conféré par Aphrodite fut utilisé à bon escient, et jamais Aurora n’en fit d’utilisation retorse, se contentant de jouir à sa guise de l’effet qu’elle produisait, et de distiller le beau et le bon sur son sillage et dans sa gamme de parfums et de cosmétiques qui n’avait eu de cesse de se développer.

Aujourd’hui, la trentaine passée n’étiolait pas ses désirs immatures de tourbillons de soie et de passades, de longs bains chauds et de folles soirées arrosées de litres de cocktails au rhum. Les visites maternelles restaient un besoin irrépressible, comme des batteries rechargées à la chaleur de l’âtre de la chaumière chérie et adulée. Les hommes s’enchaînaient au fil des soirs, les femmes parfois, et la douce et évaporée Aurora les quittait sans jamais nulle rancœur ou mesquinerie, les croisant avec plaisir, certaines brèves passades s’étant révélées le ciment frais d’une solide amitié. Facile à vivre, sa joie et son inconstance peuvent ravir comme exaspérer, et lui valent parfois des inimitiés, malgré sa bienveillance et sa loyauté. Malgré qu’elle puisse être la poupée évaporée que tous connaissent, la divine matriarche n’a jamais pu lui reprocher une seconde de s’être écarté du chemin dallé d’or et de nacre sur lequel elle l’avait guidé ; servir l’amour et apaiser ce courroux des Hommes qui n’étaient que trop prompts à s’entretuer.





Renaissance de l'Aube - Terminé 3t9v

Halloween
Aurora S. Bishop
Tsunami
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Leander Iris
Bienvenu par Minou! tea J'espère que tu te plairas ici! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à t'adresser au staff ♥ On ne mord presque jamais
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Magnus Angelo
Bienvenue chez les fous :D (ou pas... enfin presque)

J'espère que tu vas te plaire ici et... je te dirai bien qu'on ne mord pas, mais je suis sur Magnus...
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Karen Krigen
bienvenue demoiselle et au plaisir de te rencontrer bientôt
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Tsunami
Aurora S. Bishop
Merci à tous c'est adorable Renaissance de l'Aube - Terminé 1f60a
Aurora S. Bishop
Tsunami
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Olympien
Héra
congrats Aurora S. Bishop
te voilà validé !

Tu apportes une nouvelle touche de grâce parmi les héros. Tel une belle rose à la douce fragrance, tu sais déjà comment faire tourner les têtes, aussi bien que la déesse que tu sers, si bien que je vais devoir garder un œil sur toi, et surtout sur mon mari.
pour finaliser ton inscription, suis le lien !
Héra
Olympien
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