Invité
# Lost in Orleans, while the lion is there (ft Kephren) - Mar 10 Nov - 19:47
Lost in Orleans while the lion is there
in the city, o haven of life
. .
C’est un sourire. Une lumière unique. Elle t’appelle. Tu l’entendais dire ton nom. D’une voix mélodieuse. Mélancolique. Cette silhouette se dessinait avec grâce. Avec clarté. Avec sincérité, elle te propose de venir avec elle. De l’accompagner dans un voyage qui saurait offrir une joie en ton sein. Elle te propose de vous enfuir ensemble. D’aller là où vos envies vous guideraient. Ensemble. Sa main tendue vers toi. C’est un chemin tracé. Si blanc. Trop immaculé. Le jeune homme redevient petit garçon. Sous l’apparence d’un enfant. Il court. Il court vers elle. Tu veux saisir cette main. Cette possibilité. Mais derrière, tu vois les sombres desseins du Démon. De sa voix, il te fait trembler. Mais libération se devait d’être faite. Elle te demande de venir au plus vite pour lui échapper. Échapper à ce vil homme. Échapper à ce destin piteux. Impitoyable. Réussir à lâcher prise. À s’extirper de tout ce Mal qui a été fait. Qui continue de perdurer. L’espoir dans tes yeux. Le sourire qui étire tes lèvres. L’enfant innocent. À peine, tu effleures ses doigts abîmés… Qu’elle disparaît. Ce sont des flammes qui t’entourent. C’est cette odeur de corps brûlés. Tandis que le s’écoule ce rouge entre tes mains. Le visage apeuré. L’envie de hurler.
Le choc d’un atterrissage. Une petite secousse. Un battement de cœur manquant. Petit sursaut. Tes yeux se perdent aux alentours. Les passagers sont là. Tu te sens encore un peu affolé. Tu te rends compte que ce n’était qu’un rêve… Un soupir. Par la fenêtre, tu observes. L’avion venait d’atterrir. Tu pouvais observer les marquages au sol. Observer les quelques paysages qui se dévoilaient. L’aéroport. Te voilà arrivé à destination. La voix de l’appareil géant le dit : Bienvenue à la Nouvelle-Orléans. La sortie te parut bien longue. Tes yeux semblaient attirer par tout et n’importe quoi. C’était fou tout le monde qu’il y avait… Tous ces magasins ? D’un pas lent. D’un regard curieux. Tu découvres un nouveau continent. Une nouvelle vie. C’était bien la première fois que tu avais quitté l’Afrique. Et les différences étaient bien trop nombreuses. Tu remets correctement ta capuche. Tu te faisais un peu bousculer. Parfois, tu perds l’équilibre et tu ne sais plus où aller… Dans les grandes villes, chez toi, tu avais tendance à vouloir rester dans les bidonvilles. Passer du temps avec les démunis. Ou chercher du travail. Et puis… Le désert était devenu ton foyer. Le soleil demeurait en ces lieux. Pourtant, il ne laissait pas les éclats sur le sable doré. Non. C’étaient les bâtiments qui étaient illuminés.
Pourquoi tu t’étais retrouvé ici ? Lorsque tu avais rencontré Jae-Sun… Lui qui t’avait parlé de voyages… Cela t’avait donné envie de découvrir un peu aussi. Au moins un peu… Peut-être que tu te rendais compte que tu aurais aimé partir ainsi avec ta mère. Peut-être est-ce pour cela que tu as rêvé de cela… Chagrin… Il s’exprime dans ce visage sans vie. Bref… Gracian t’avait parlé de la Nouvelle-Orléans comme un endroit merveilleux qui te changera bien de tes habitudes. Il avait bien raison… Alors tu avais décidé que ce serait ta première destination hors du continent africain. Peut-être était-ce parce que tu avais peur d’aller en Angleterre ? Qui sait.
Dans le taxi, ce que tu voyais au travers de la fenêtre te paraissait si étrange. La chaleur était différente. Et la démarcation entre les pauvres et les riches semblait bien moins présente aussi. Un truc que tu appris à connaître… Ce sont les embouteillages ! Tu étais en plein dans la ville. Tu trouvais cela assez embêtant. Alors, tu avais demandé au chauffeur de te laisser dès qu’il pouvait. Lui donnant l’argent nécessaire. Te voilà en pleine ville. Seul… La mauvaise idée ! C’est avec dépit que tu regardais l’adresse de ton hôtel sur ton téléphone. Tu avais du mal à comprendre ce truc… Encore plus le GPS. Comment ça marchait sérieusement ? Tu marchais. Marchais. Encore et encore. Tu ne parlais pas anglais. Américain ou je ne sais quelle autre langue. Déjà que tu ne savais pas très bien lire et écrire… Tu étais complètement perdu. Tu te retrouvais près d’un restaurant luxueux, d’une grande allée de magasins. Mais où était ton hôtel ? Dormir dehors ne te dérangerait pas plus que cela, mais bon… Ton mentor avait fait l’effort de bien t’expliquer comment ça marcher. Et puis tu avais payé donc bon…
Semblable à un enfant. Tu essayas de t’adresser à un passant dans un parc. Si toi, tu le comprenais. Lui n’avait aucune connaissance de l’égyptien. Et peut-être que ton accoutrement te rendait étrange aux yeux des autres :
« Quelqu’un saurait m’indiquer cette adresse ? S’il vous plaît…. »
Aucune réponse. Juste des visages d'incompréhensions.
C’est un sourire. Une lumière unique. Elle t’appelle. Tu l’entendais dire ton nom. D’une voix mélodieuse. Mélancolique. Cette silhouette se dessinait avec grâce. Avec clarté. Avec sincérité, elle te propose de venir avec elle. De l’accompagner dans un voyage qui saurait offrir une joie en ton sein. Elle te propose de vous enfuir ensemble. D’aller là où vos envies vous guideraient. Ensemble. Sa main tendue vers toi. C’est un chemin tracé. Si blanc. Trop immaculé. Le jeune homme redevient petit garçon. Sous l’apparence d’un enfant. Il court. Il court vers elle. Tu veux saisir cette main. Cette possibilité. Mais derrière, tu vois les sombres desseins du Démon. De sa voix, il te fait trembler. Mais libération se devait d’être faite. Elle te demande de venir au plus vite pour lui échapper. Échapper à ce vil homme. Échapper à ce destin piteux. Impitoyable. Réussir à lâcher prise. À s’extirper de tout ce Mal qui a été fait. Qui continue de perdurer. L’espoir dans tes yeux. Le sourire qui étire tes lèvres. L’enfant innocent. À peine, tu effleures ses doigts abîmés… Qu’elle disparaît. Ce sont des flammes qui t’entourent. C’est cette odeur de corps brûlés. Tandis que le s’écoule ce rouge entre tes mains. Le visage apeuré. L’envie de hurler.
Le choc d’un atterrissage. Une petite secousse. Un battement de cœur manquant. Petit sursaut. Tes yeux se perdent aux alentours. Les passagers sont là. Tu te sens encore un peu affolé. Tu te rends compte que ce n’était qu’un rêve… Un soupir. Par la fenêtre, tu observes. L’avion venait d’atterrir. Tu pouvais observer les marquages au sol. Observer les quelques paysages qui se dévoilaient. L’aéroport. Te voilà arrivé à destination. La voix de l’appareil géant le dit : Bienvenue à la Nouvelle-Orléans. La sortie te parut bien longue. Tes yeux semblaient attirer par tout et n’importe quoi. C’était fou tout le monde qu’il y avait… Tous ces magasins ? D’un pas lent. D’un regard curieux. Tu découvres un nouveau continent. Une nouvelle vie. C’était bien la première fois que tu avais quitté l’Afrique. Et les différences étaient bien trop nombreuses. Tu remets correctement ta capuche. Tu te faisais un peu bousculer. Parfois, tu perds l’équilibre et tu ne sais plus où aller… Dans les grandes villes, chez toi, tu avais tendance à vouloir rester dans les bidonvilles. Passer du temps avec les démunis. Ou chercher du travail. Et puis… Le désert était devenu ton foyer. Le soleil demeurait en ces lieux. Pourtant, il ne laissait pas les éclats sur le sable doré. Non. C’étaient les bâtiments qui étaient illuminés.
Pourquoi tu t’étais retrouvé ici ? Lorsque tu avais rencontré Jae-Sun… Lui qui t’avait parlé de voyages… Cela t’avait donné envie de découvrir un peu aussi. Au moins un peu… Peut-être que tu te rendais compte que tu aurais aimé partir ainsi avec ta mère. Peut-être est-ce pour cela que tu as rêvé de cela… Chagrin… Il s’exprime dans ce visage sans vie. Bref… Gracian t’avait parlé de la Nouvelle-Orléans comme un endroit merveilleux qui te changera bien de tes habitudes. Il avait bien raison… Alors tu avais décidé que ce serait ta première destination hors du continent africain. Peut-être était-ce parce que tu avais peur d’aller en Angleterre ? Qui sait.
Dans le taxi, ce que tu voyais au travers de la fenêtre te paraissait si étrange. La chaleur était différente. Et la démarcation entre les pauvres et les riches semblait bien moins présente aussi. Un truc que tu appris à connaître… Ce sont les embouteillages ! Tu étais en plein dans la ville. Tu trouvais cela assez embêtant. Alors, tu avais demandé au chauffeur de te laisser dès qu’il pouvait. Lui donnant l’argent nécessaire. Te voilà en pleine ville. Seul… La mauvaise idée ! C’est avec dépit que tu regardais l’adresse de ton hôtel sur ton téléphone. Tu avais du mal à comprendre ce truc… Encore plus le GPS. Comment ça marchait sérieusement ? Tu marchais. Marchais. Encore et encore. Tu ne parlais pas anglais. Américain ou je ne sais quelle autre langue. Déjà que tu ne savais pas très bien lire et écrire… Tu étais complètement perdu. Tu te retrouvais près d’un restaurant luxueux, d’une grande allée de magasins. Mais où était ton hôtel ? Dormir dehors ne te dérangerait pas plus que cela, mais bon… Ton mentor avait fait l’effort de bien t’expliquer comment ça marcher. Et puis tu avais payé donc bon…
Semblable à un enfant. Tu essayas de t’adresser à un passant dans un parc. Si toi, tu le comprenais. Lui n’avait aucune connaissance de l’égyptien. Et peut-être que ton accoutrement te rendait étrange aux yeux des autres :
« Quelqu’un saurait m’indiquer cette adresse ? S’il vous plaît…. »
Aucune réponse. Juste des visages d'incompréhensions.
@feat Kephren Doe le lion
Invité
Kehphren Doe
# Re: Lost in Orleans, while the lion is there (ft Kephren) - Ven 13 Nov - 17:57
Perdu ?
FT.Orion
La journée d’aujourd’hui promettait d’être agréable ! J’avais pris la décision de changer un peu d’air ! J’en avait marre d’être toujours dans le campement d'apollon, enfermé entre 4 mur, alors j’avais décidé de prendre l’air ! Aujourd'hui j’avais décidé de faire une sieste au parc ! Ca m’arrivait régulièrement de le faire,ça me permettais de dormir sans qu’il y en ai pour me regarder et puis à la nouvelle orléans, les gens commençaient à être habitués à mon apparence.
Je bailla fortement, m’étirant de partout avant de me lever. Je m’habilla comme à mon habitude. Voyant que je sortais, on me donna quelques courses à faire, j’accepta de les aidé avec ça.. J’avais beau être une grosse feignasse, c’était pas au point d’être un connard qui disait non dès qu’on lui demandait quelque chose et puis, la liste était plutôt petite, ça ne me prendrais pas trop de temps. Je verrais ça après ma sieste ! C’est donc avec un peu d’argent, mon portable et ma liste que je sortis.
Dehors, ça puait comme d’habitude, la pollution me piquer le nez mais bon, j’avais l’habitude. Certaines personne dans la rue continuaient de me fixer comme-ci j’étais une bête de foire. Entre ma taille et mon apparence, il est claire que je ne passais pas inaperçu. Une femme poussa son enfant, comme-ci j’allais le dévorer. J’ignora la scène comme-ci elle était tout à fait normale. Je finis par apercevoir un type avec l’air complètement paumé. Il tentait de s’adresser aux gens mais ces derniers ne semblaient pas le comprendre. C’était étonnant vue que moi, j’arrivais à le comprendre.
je compris donc que c’était très certainement un héro, il était en mission ? il foutait quoi ici ? En plus, ce con me mettait en retard pour ma sieste. Je souffla un peut avant de dire:
Un problème par ici ?
Mes oreilles remuèrent légèrement sur ma tête tandis que ma queue de lion viens doucement taper contre ma jambe. Je ne souriais pas, ce qui ne devais pas vraiment mettre à l’aise le pauvre jeune homme qui était déjà en mauvaise position vue qu’il était perdu.
BY.MANOBLACK
Chasseur-esse
Messages : 45
Invité
# Re: Lost in Orleans, while the lion is there (ft Kephren) - Mer 25 Nov - 17:46
Lost in Orleans while the lion is there
in the city, o haven of life
. .
Ces regards animaient ton malaise. Leur incompréhension. Leur jugement. Ces expressions renforçaient ton désir de l’éloigner des Humains. Du moins…. Ceux qui se trimballaient comme ça tranquillement. Qui avaient tellement, qu’ils pouvaient se pavaner l’air fier. Te regarder de cette manière. Peut-être, tu te faisais simplement des films. Peut-être que tu étais juste, trop sensible à tout ça. À force d’avoir été face à la corruption du monde. De l’Homme. Tu étais bien content d’avoir mis ta cape. Un soupir qui s’échappe de tes lèvres. Perdu dans la Nouvelle-Orléans. Le cœur battant. Poupée de chiffon qui n’avait nul part où aller. Personne vers qui se tourner… Alors que tu t’apprêtais à abandonner. À chercher toi-même plutôt qu’en demandant l’aide d’une quelconque personne. Quelqu’un était venu à toi.
Un signe du ciel peut-être.
Il était bien plus grand que toi. Lever la tête pour le regarder dans les yeux était une obligation. Verts, émeraudes sont ses prunelles. Physique atypique. Cheveux bruns et longs, couleurs d’automne. Peau qui rappelle tes origines. Mate, sombre chaire marquée par un soleil constant. Couleur café. Mais plus marquant encore, ce sont « ces » attributs qui le distinguent des autres. Il avait des oreilles et une queue de lion ?! Nul ne peut en douter…. C’était un Héros. C’était sûrement pour ça qu’il pouvait te comprendre. Contrairement aux autres ? Ce fut un soulagement pour ton âme. Par contre il ne semblait pas plus que ça, heureux. Aucun sourire n’arborait son visage. Cela ne te mettait donc pas spécialement à l’aise. Mais, après tout, cela ne te dérangeait pas. Après tout, toi, ton visage restait toujours de marbre. Exprimer ta joie te semblait presque impossible. Tu n’y arrivais pas et tu n’en avais pas le désir d’ailleurs…. Enfin, qu’il se montre souriant ou non. Lui était venu t’aider, c’était la seule chose à en tirer :
« Et bien, je suis perdu... »
Ton morose. Soupir qui s’échappe de nouveau. C’est ton téléphone que tu montres afin qu’il puisse voir l’adresse marquée :
« En fait, je cherche mon hôtel qui est à cette adresse. J’ai du mal avec le GPS donc je ne sais pas trop où aller. Surtout que je ne connais pas la ville. »
Tu t’expliques convenablement. Sans honte. Tu t’en foutais au final. Ce qui te dérangeait, c’était cette technologie…. Ah les smartphones. Tu avais vraiment du mal avec ça. Tu ne comprenais pas pourquoi les gens trouvaient cela si populaire. Oui, tu étais un garçon étrange. Mais que voulez-vous ? Tu as grandi sans avoir accès à ces merveilles. Tu n’as connu que les malheurs d’une vie. Les douleurs d’une mère et la violence d’un père. Dans des bidonvilles où seuls les déchets pouvaient servir de jouets. Où tu ne pouvais que regarder au loin les gens aisés qui n’éprouvaient que du mépris pour vous. Si ce n’était parfois de la pitié… Ton regard rouge observe l’inconnu. Tu te demandais d’où il venait et dans quel camp il était… Peut-être Apollon ? C’était un homme et vu le continent où vous étiez…. Enfin après, vous, héros, êtes libres de voyager où bon vous semble. Enfin, les mercenaires le sont en tout cas. Tu ne savais pas comment cela se passait pour les autres camps. Mais après tout quel intérêt ?
Toi, tu voulais juste trouver ton hôtel. Pour ne pas avoir payé pour rien. Et parce que tu voulais découvrir la ville plutôt que de passer ta journée à chercher. C’était un doux jour. Un temps délicat et agréable. Bien que tu avais un peu de mal. Trop différent de ce que tu connais. Soleil beaucoup moins frappant. Couleurs chatoyantes mais si distinctes que ton désert d’enfance. Là, l’originalité du Monde. C’est pour cela que tu étais ici. Pour découvrir. Tu avais enfin trouvé une certaine curiosité. Alors, autant t’en abreuver. La nourrir de ces paysages nouveaux :
« Tu saurais me guider ? »
Ces regards animaient ton malaise. Leur incompréhension. Leur jugement. Ces expressions renforçaient ton désir de l’éloigner des Humains. Du moins…. Ceux qui se trimballaient comme ça tranquillement. Qui avaient tellement, qu’ils pouvaient se pavaner l’air fier. Te regarder de cette manière. Peut-être, tu te faisais simplement des films. Peut-être que tu étais juste, trop sensible à tout ça. À force d’avoir été face à la corruption du monde. De l’Homme. Tu étais bien content d’avoir mis ta cape. Un soupir qui s’échappe de tes lèvres. Perdu dans la Nouvelle-Orléans. Le cœur battant. Poupée de chiffon qui n’avait nul part où aller. Personne vers qui se tourner… Alors que tu t’apprêtais à abandonner. À chercher toi-même plutôt qu’en demandant l’aide d’une quelconque personne. Quelqu’un était venu à toi.
Un signe du ciel peut-être.
Il était bien plus grand que toi. Lever la tête pour le regarder dans les yeux était une obligation. Verts, émeraudes sont ses prunelles. Physique atypique. Cheveux bruns et longs, couleurs d’automne. Peau qui rappelle tes origines. Mate, sombre chaire marquée par un soleil constant. Couleur café. Mais plus marquant encore, ce sont « ces » attributs qui le distinguent des autres. Il avait des oreilles et une queue de lion ?! Nul ne peut en douter…. C’était un Héros. C’était sûrement pour ça qu’il pouvait te comprendre. Contrairement aux autres ? Ce fut un soulagement pour ton âme. Par contre il ne semblait pas plus que ça, heureux. Aucun sourire n’arborait son visage. Cela ne te mettait donc pas spécialement à l’aise. Mais, après tout, cela ne te dérangeait pas. Après tout, toi, ton visage restait toujours de marbre. Exprimer ta joie te semblait presque impossible. Tu n’y arrivais pas et tu n’en avais pas le désir d’ailleurs…. Enfin, qu’il se montre souriant ou non. Lui était venu t’aider, c’était la seule chose à en tirer :
« Et bien, je suis perdu... »
Ton morose. Soupir qui s’échappe de nouveau. C’est ton téléphone que tu montres afin qu’il puisse voir l’adresse marquée :
« En fait, je cherche mon hôtel qui est à cette adresse. J’ai du mal avec le GPS donc je ne sais pas trop où aller. Surtout que je ne connais pas la ville. »
Tu t’expliques convenablement. Sans honte. Tu t’en foutais au final. Ce qui te dérangeait, c’était cette technologie…. Ah les smartphones. Tu avais vraiment du mal avec ça. Tu ne comprenais pas pourquoi les gens trouvaient cela si populaire. Oui, tu étais un garçon étrange. Mais que voulez-vous ? Tu as grandi sans avoir accès à ces merveilles. Tu n’as connu que les malheurs d’une vie. Les douleurs d’une mère et la violence d’un père. Dans des bidonvilles où seuls les déchets pouvaient servir de jouets. Où tu ne pouvais que regarder au loin les gens aisés qui n’éprouvaient que du mépris pour vous. Si ce n’était parfois de la pitié… Ton regard rouge observe l’inconnu. Tu te demandais d’où il venait et dans quel camp il était… Peut-être Apollon ? C’était un homme et vu le continent où vous étiez…. Enfin après, vous, héros, êtes libres de voyager où bon vous semble. Enfin, les mercenaires le sont en tout cas. Tu ne savais pas comment cela se passait pour les autres camps. Mais après tout quel intérêt ?
Toi, tu voulais juste trouver ton hôtel. Pour ne pas avoir payé pour rien. Et parce que tu voulais découvrir la ville plutôt que de passer ta journée à chercher. C’était un doux jour. Un temps délicat et agréable. Bien que tu avais un peu de mal. Trop différent de ce que tu connais. Soleil beaucoup moins frappant. Couleurs chatoyantes mais si distinctes que ton désert d’enfance. Là, l’originalité du Monde. C’est pour cela que tu étais ici. Pour découvrir. Tu avais enfin trouvé une certaine curiosité. Alors, autant t’en abreuver. La nourrir de ces paysages nouveaux :
« Tu saurais me guider ? »
@feat Kephren Doe le lion
Invité
Kehphren Doe
# Re: Lost in Orleans, while the lion is there (ft Kephren) - Mer 14 Avr - 13:21
Perdu ?
FT.Orion
La réponse, bien qu’évidente fini par arriver, le jeune héro était bel et bien perdu. je trouvais tout de même ça assez étonnant, habituellement les missions des héros étaient rarement seul et on avait tout de même de quoi s’orienté si on devait aller dans un coin précis, peut être avait il perdu sa carte ? Ou alors il avait juste aucun sens de l’orientation ? Finalement, il me montra mon portable avec une adresse, en m’expliquant qu’il avait du mal avec le GPS. Il faut l’avouer, je me demandais comment il faisait habituellement pour se débrouiller en mission si il arrivait à se perdre aussi facilement avec des outils qui normalement était censé l’aider à s’y retrouver. le jeune homme vins aussi m’expliquer que les nouvelles technologie c’était pas son truc.. Pourtant, il avait l’air assez jeune. M’enfin après je supose que chacun avait son avis, personnellement, les “nouvelles” technologie m’aidais pas mal et je voyais pas aujourd’hui comment on pouvais vivre sans. Il y avait quand même une exception à la régle: les réveilles. Ca je pouvais vivre sans et même, je trouvais que c’était une très mauvaise invention, ça ruiné ton someil et ton réveil. je bailla avant de dire au jeune héro paumé.
Hum… je vois ! La bonne nouvelle c’est que je vois de quel hôtel tu parles et je vois à peu prêt ou il se trouve. La mauvaise nouvelle c’est que c’est pas du tout ici, je sais pas comment tu as fais mais tu es pratiquement à l'opposé de ce que tu cherches !
Je bailla fortement, ouvrant grand la bouche et dévoila mes dents munis d’impressionnant croc qui firent reculé quelque personne passant à côté de nous. Visiblement j’allais devoir renoncer à ma sieste, ça me gonflais complètement mais, je ne pouvais pas laisser un héro perdu comme ça .. Cela ne se faisait pas et moi même je serais très heureux de pouvoir trouver de l’aide si je me retrouver perdu dans un pays ou personne ne parlait ma langue.
Je vais t’aider !
Ma queue de lion batta l’air encore une fois, je finis par me décidé à me présenté, car nous avions quand même pas mal de marche à pieds à faire alors autant qu’il sache au moins comment je m’apelle, au moins pour m’apellé si il se faisait dépassé par la foule car il y avait quand même pas mal de monde dans le coin.
Je m’apelle Kehphren, on y va ? on est au milieu, on gêne tout le monde.
on me remarquais déjà beucoup trop à la normal, je préféré évité de trop attirer l'attention sur moi. D’in cotés, avec ses cheveux blanc et son air aussi aimable que le miens, il attirait pas mal les regard lui aussi.
BY.MANOBLACK
Chasseur-esse
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