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Tsunami
Jayden Lovelace
Signs of Love - Jayden Lovelace Avatar10

Jayden Lovelace


L'amour est aveugle, l'amour-propre l'est davantage



Genre : Masculin
Âge : 25 ans
Origine: Australie, Sydney
Sexualité: Bisexuelle
Signs of Love - Jayden Lovelace Scroog12
Nom du Pouvoir : Sealed with a Kiss
Camp : Tsunami
Dieu Référant : Aphrodite



Physique


Taille : 1m59 (1m60 selon lui, ne mentionnez pas ce petit centimètre manquant)
Corpulence : 54kg
Cheveux : Mi-longs, ondulés, dorés
Yeux : Bleu ciel
Signes distinctifs : Facultatif
Style vestimentaire : Très légers et révélateurs, quand il est habillé.


En bref


Qualités : Humoristique / Charismatique / Rusé / Sympathique / Observateur / Sportif / Honnête / Passionné / Enthousiaste / Zen / Sur de soi
Défauts : Rêveur / Narcissique / (trop) Romantique/ Bavard / Fainéant / Etourdi / Avare / Farceur/ Désinvolte / Désorganisé / Sans-gêne

Description du pouvoir : Jayden est un grand romantique, et cela colle pour un fidèle de la déesse de l’amour. Son pouvoir est en harmonie avec ce portrait ; il fonctionne via les baisers du jeune homme. En effet, « Sealed with a Kiss » lui permet, quand il embrasse quelque chose, de sceller ce qui a touché ses lèvres. Cette chose ne pourra alors plus être utilisée ni déplacée. Mais elle pourra être endommagée. Par exemple, s’il embrasse le téléphone portable qu’un camarade a négligemment oublié sur la table, son collège ne pourra plus le prendre ou l’allumer. Mais s’il frappe dessus, le téléphone pourra casser.
Ce pouvoir ne fonctionne pas seulement sur les objets mais sur les être vivants, seulement, il ne pourra jamais sceller un être vivant entier, quelque soit sa taille. Il peut, en revanche, en sceller une partie ; un bras, une jambes, et ainsi handicaper sa cible.
Ce pouvoir n’est pas sans limite. La première est la plus évidente ; la nécessité, non pas seulement d’un simple contact physique, mais d’un contact de ses lèvres pour actionner son pouvoir. Embrasser un objet n’est pas la chose la plus discrète au monde, et au combat, il doit parvenir à approcher suffisamment l’adversaire pour pouvoir déposer un baiser sur la partie qu’il veut sceller, ceci malgré qu’il ne soit pas du tout taillé pour les combats. Le deuxième est le nombre de choses qu’il peut sceller à la fois. En effet, impossible pour lui d’immobiliser complètement un être humain en scellant ses quatre membres, il est limité à une seule chose à la fois, il lui faut donc user de son pouvoir avec stratégie. Enfin, si aucune limite de temps n’imposer une fin au sceau placé sur ce qu’il a embrassé, une limite de distance de 10 mètres l’empêche toutefois de trop s’en éloigner. S’il dépasse ces 10 mètres, le sceau se brisera instantanément. Ainsi, il est obligé de rester dans les alentours de la chose qu’il a scellé, ou, selon le contexte, à portée d’attaque de son adversaire.
Arme OU accessoire : Un cacatoès rosalbin entrainé et armé. A vrai dire, il se bat même sûrement mieux que son maître. L’oiseau, du nom de Vénus, est équipé de serres de combats et d’un « bec » acéré en acier venant des forges d’Héphaïstos. Bien entendu, ce n’est pas Jayden qui les a commandé.


Mental


Quand on voit ce gosse de riche bronzer sur la plage en laissant sont regard louvoyer sur les jolis corps autour de lui, on pourrait aisément s’imaginer qu’il a une personnalité imbuvable typique d’un gosse de riche pourri gâté. Mais on aurait tort de ne pas vouloir faire sa connaissance basé sur ces préjugés. S’il est vrai que sa vie aisée transpire dans son attitude, il est en réalité extrêmement sympathique et sa compagnie pourra vous être agréable si votre personnalité s’accommode avec la sienne. Mais, même si vous ne parvenez pas à vous entendre, ne vous attendez pas à vous disputer avec lui- ou alors vous vous disputez tout seul- car Jayden est d’une nature très zen et paisible. Peu lui importe les cris, peu lui importe les insultes, peu lui importe si on se montre odieux avec lui, il semble être incapable de s’énerver. Peut-être est-ce parce qu’il prend les choses avec trop de détachement, jamais assez de sérieux. Mais cette désinvolture lui donne une patience à toute épreuve. Même s’il n’en sera pas forcément autant pour son entourage que les propos libres et sans-filtres pourront rapidement agacer.
Mais il saura vous charmer par son charisme et son humour. Par son enthousiasme et son sourire. Il aime la compagnie- pas forcément dans le cadre privé- et sera un vrai rayon de soleil en présence d’autrui. Si ses incessants bavardages ne vous fatiguent pas, vous apprécierez son énergie et son envie manifeste d’apporter le sourire autour de lui comme une sorte d’enfant innocent. Ce qu’il n’est pas, évidemment. Mais on pourrait s’y laisser tromper. On oublie cependant rapidement cette idée d’innocence quand il commence à user de son pouvoir pour faire des blagues à tout le monde.
Jayden est sûr de lui. Assez sûr de lui pour ne même pas se sentir attaqué si vous vous prétendez meilleur que lui. Assez sûr de lui pour ne pas avoir besoin de s’en vanter. Si sûr de lui en fait que cela frôle le narcissisme. Pour son physique du moins. C’est indéniable ; il s’aime. Il se trouve divinement beau et prend soin de son apparence avec beaucoup d’attention. Il déteste qu’on porte atteinte à sa beauté d’une quelconque façon. Ne lui demandez même pas de marcher dans la boue.
De toute façon, pour partir en mission, il ne faut pas trop compter sur lui. Si Jayden est sportif et aime passer son temps libre à surfer, il est aussi très paresseux quand il s’agit de travailler. Il préfère de loin bronzer sur la plage, faire la grâce matinée, ou rejoindre les quartiers d’Aphrodite.
Enfin, Jayden est un grand rêveur et un grand romantique… A sa façon. Si vous le voyez installé avec les yeux fixant un point invisible, un vague sourire sur le visage, c’est qu’il est en train de se laisser aller à imaginer un scénario romantique impliquant les personnes de son entourage. En effet, il se laisse aller à imaginer ses collègues en relations entre eux, allant jusqu’à faire des poupées d’eux pour jouer ses scénarios romancés. Quelque peu… Inquiétant, mais rien de bien malicieux. Paradoxalement, lui-même n’a jamais montré d’intérêt dans une relation amoureuse. Cette tendance à se laisser aller sans cesse à rêvasser lui pose cependant quelques problèmes. Il est très étourdi et oubli régulièrement ses affaires au moment de partir en mission. On l’aurait déjà vu partir en oubliant ses propres vêtements ! Il est aussi extrêmement désorganisé et sa chambre est constamment sans dessus-dessous. Mais lui semble savoir s’y repérer. Quand il s’agit d’y retrouver ses poupées et son argent en tout cas.
Fun Fact : Il est extrêmement fier de sa ville de naissance, ce qui peut l’amener à parler de façon un peu hautaine parfois sans forcément s’en rendre compte s’il est amené à en parler.
Il est philophobe. Et non. Ce n’est pas la peur de la philosophie.


Histoire



L’annonce de l’existence des dieux a provoqué beaucoup de réaction variées à travers le monde. Mais loin du choc, de la surprise, de la peur ou de la colère, certains ont reçu cette annonce comme une opportunité.
Les parents de Jayden sont de ceux là.
Fynn Dangar et Scarlett Lovelace n’étaient pas issus d’un milieu aisé. Ils avaient tous les deux connus la privation. Ils n’avaient pas la prétention de devenir riche, mais ils étaient déterminés à faire ensemble un travail dont ils étaient fier, et qui leur permettrait de vivre. Quand ils apprirent l’existence des dieux grecs, ils comprirent qu’ils devaient trouver un moyen de profiter de cette occasion. La solution se présenta à eux quand Aphrodite en personne vint s’installer dans leur ville.
Ils lancèrent leur entreprise et se plongèrent corps et âme dessus. Ils rencontrèrent un franc succès et firent fortune, mais en négligèrent leur vie privée.
Ils avaient donc déjà quarante ans quand ils décidèrent d’avoir leur premier- et seul- enfant. Cet enfant fut Jayden Lovelace.

Les parents aimaient leur enfant. Et Jayden aimait ses parents. Mais ils ne parvenaient pas à se comprendre. Outre l’écart massif entre l’âge des parents et de l’enfant, Jayden grandit dans un cadre de vie si différent de celui qu’ils connurent autrefois qu’aucun partit ne pouvait comprendre le point de vu de l’autre.
Là où la vie de Fynn et Scarlett leur avait apprit les valeurs et l’importance du travail, Jayden, lui, ne connut que le luxe et le confort. Il pouvait avoir tout ce qu’il voulait, il avait l’argent pour. Le travail n’était pas un souci dans son esprit, l’important pour lui était de profiter de la vie, et l’héritage familiale était pour lui un siège confortable.

Ainsi, au grand désespoir de ses parents, Jayden grandit pour devenir très paresseux. Quand ils essayaient de lui enseigner comment gérer leur entreprise, comment gérer leur côte en bourse, il manifestait ouvertement son désintérêt. Plutôt que d’écouter, il se laissait aller à rêvasser, à dessiner des interactions romantiques entre des personnages sur ses feuilles, un petit sourire absent sur les lèvres.
Ses parents étaient excédés. D’autant que leur fils avait de l’énergie à revendre pour ce qui le passionnait. Après avoir découvert le surf à l’école, il manifesta un vif intérêt pour ce sport. Ses parents, ravis de le voir se passionner pour une activité autre que « la sieste » l’encouragèrent sur cette voie. Ils lui prirent les cours, le matériel, tout ce dont il avait besoin. Leur fils n’avait pas pour habitude d’être capricieux et de réclamer tout ce qu’il voyait, alors ils étaient ravis de pouvoir lui offrir tout ce dont il avait besoin pour se mettre au surf.
Ils étaient loin de s’imaginer qu’il allait enfin se servir de sa réserve d’énergie manifestement cachée depuis toutes ses années et se lancer dans ce sport comme s’il comptait en faire une vocation. Impossible de continuer ses cours, Jayden était sans cesse à la plage. Soit il surfait, soit il faisait une sieste sur le sable.
Parfois, il disparaissait tôt dans la matinée, avant le réveil de tout le monde. Et il ne rentrait que très tard le soir, épuisé, mais fier, brandissant l’un des sacs de déchets qu’il avait remplit au cours de la journée.
Il s’avère qu’il est difficile d’être surfeur sans être affecté par la massive pollution des océans.
Ses parents le grondaient pour la forme pour ne pas avoir donné de nouvelles, mais finissaient par le féliciter de son travail. Ils espéraient toujours au fond d’eux qu’il finisse par s’intéresser à l’entreprise familiale, mais s’il pouvait commencer à prendre goût au travail bien fait grâce à sa passion, c’était un bon début.

Mais Jayden avait d’autres plans.
Le premier était de protéger ses océans. Il n’avait qu’une portée limitée, mais il comptait bien nettoyer inlassablement les eaux qui bordaient l’Australie.
Le deuxième était de devenir un surfeur professionnel.

L’un de ses deux projets allait bientôt prendre une tournure favorable.
A son plus grand malheur.
Mais je vais le laisser vous compter la suite…

♥

Il y a trop de gens sur la plage. Je n’ai rien contre les gens. Ca ne me dérange pas d’étendre mon corps sculpté par les vagues dans le sable chaud au milieu de la foule et de laisser les rayons du soleil et les regards le darder avec langueur toute la journée.
Mais quand il y a tant de monde sur la plage, c’est qu’il y a beaucoup de touristes. Qui dit beaucoup de touristes, dit beaucoup de pollution. Installé à proximité de la statue de Duke Kahanamoku- mon dieu, vraiment- j’observe les allez et venus des passants. J’ai grandit ici, j’y ai passé chaque jour de ma vie, je suis capable de différencier chaque personne à sa façon d’être et d’agir. Je sais dire s’il s’agit d’un local, d’un touriste, ou d’un Tsunami. Pour nous, à Sydney, croiser des héros, croiser des Tsunami, ça n’a rien de hors du communs. Ca arrive presque tous les jours. Quand on voit un étranger avec des bijoux en or pour vêtements, on se doute bien de son identité. Leur présence nous est aussi familière que celle des touristes.
Pour moi, elle l’est un peu plus.
Je baisse les yeux sur la poupée que je suis en train de confectionner et sourit. J’aime observer leur vie à Sydney, j’aime observer leurs interactions, imaginer leur vie privée. Ces deux là se disputent tout le temps, ils feront un couple adorable. Ces deux là ne se séparent jamais, ils doivent être fou amoureux l’un de l’autre mais n’osent pas se l’avouer. Dans mon esprit, chaque Tsunami a une vie romantique avec un de ses collègue, et je nourris ces fantasmes de multitudes d’histoires qui bercent mes pensés- et mes cours de bourse. J’aime les observer, pour enrichir mes idées.
Une fois ma poupée achevée, je rentre chez moi pour la ranger et récupérer ma planche de surf et retourner sur la plage. Vous pourriez penser qu’il est difficile pour moi de naviguer parmi tous ces touristes à la langue étrangère, mais pas du tout. En fait, si eux ne me comprennent pas forcément, je n’ai pour ma part jamais eu de difficulté à les comprendre, quel que soit leur langue. Un don qui eu tôt fait d’étonner tout le monde autour de moi- surtout mes profs de langue et mes camarades qui ne comprenaient pas comment je pouvais parfaitement comprendre le chinois qu’on nous enseignait sans forcément savoir le parler derrière. Mais au moins cela eu l’avantage de me permettre d’apprendre facilement sans avoir à fournir le moindre effort. « Elève brillant » « Jayden est un bilingue né » « S’il faisait plus d’efforts il parlerait sans doute mieux chinois que moi ». Mes profs de langue ne tarissaient pas d’éloge pour moi- et c’était sans doute les seuls.

Au milieu des vagues, je ne pense plus à rien. Je ne pense plus à la foule sur la plage, je ne pense même pas à me donner en spectacles pour tous les yeux rivés sur moi. Je suis concentré sur les vagues, et sur mes performances. C’est une passion dont je ne pourrais jamais me passer. Rien n’a plus d’importance pour moi que le surf. C’est à chaque fois un instant de béatitude qui emplit aussi bien mon esprit que mon corps. C’est la seule chose qui me semble avoir assez d’importance pour que je produise des efforts. Et je sais que c’est là ma voie.
Je suis brusquement ramené à la réalité par un mouvement agité qui brise ma concentration et me fait basculer dans l’eau. Sitôt la tête ressortie, je cherche ce que j’ai bien put voir et ne tarde à le repérer : une personne en train de se noyer ! Nous sommes assez éloignés de la plage, elle a dut se laisser porter par les vagues sans le réaliser et finir par fatiguer en essayant de faire demi-tour.
Sans prendre le temps de réfléchir, je nage jusqu’à cette personne pour l’attraper et hisser son visage au dessus de la surface. Puis, je la transporte tant bien que mal vers la berge. Ce n’est pas une mince affaire, mais je finis néanmoins par réussir à le tirer sur le sable humide en haletant. Toutefois, je sais qu’elle n’est pas encore sauvée. La personne ne parle plus, ne bouge plus, ne réagit plus du tout, et, pire, ne respire plus. Heureusement pour elle, savoir intervenir en cas de noyade fait, selon moi, partit du starter pack obligatoire pour un surfer. Pendant que les autres appellent les secours, j’entreprends donc une RCP. Alors oui, je sais, les films ont pas mal romantisés ça ; être sauvé par un beau surfeur australien qui vous fait du bouche à bouche. Mais honnêtement pour moi il n’y avait rien de romantique à m’affoler en essayant de maintenir un inconnu à la vie, priant pour que les secours arrivent au plus vite.
Finalement, j’entends un bruit, comme un souffle, et en clignant des yeux, je remarque que l’inconnu me regarde, respirant péniblement par sa bouche figée dans la position dans laquelle je l’avais laissée. Je suis agitée d’un rire nerveux :

« Tu sais qu’il y a des méthodes plus simples et moins dangereuses pour avoir un baiser d’un surfeur australien ? »

Je plaisante pour essayer de dédramatiser. Aussi bien pour lui, que parce que j’en ai moi-même besoin. Pourtant, l’autre me réponds par un : « AAAAEEEEEUUH » sans bouger la bouche.
Okay.
J’ai mal fait quelque chose ?
Je n’ai pas le temps de poser plus de questions, les secours arrivent pour s’occuper du malheureux qui lutte toujours pour parler. Secoué, je pars en courant pour rentrer chez moi.

♥

Je n’ai pas fait le lien entre cet évènement et ma capacité à comprendre les autres langues. Je n’ai pas fait le lien entre tout ça, et les héros. Vous trouvez peut-être ça ironique venant de quelqu’un qui a grandit dans la ville où vivent la moitié des Tsunami, mais justement ; pour moi un héros est censé leur ressembler. C’est une personne brave et valeureuse qui a voué sa vie à protéger les océans. Je ne leur ressemblais pas.
C’est une beauté rencontré sur la plage qui m’appela « héros » la première. J’étais couché dans le sable, profitant des chauds rayons du soleil qui caressaient mon corps quand une voix m’interpella par les termes « joli héros. » Et cette beauté, je sus la reconnaître immédiatement ; Aphrodite.
Je ne suis pas assez fou pour remettre en question le jugement d’un dieu sur ce genre de domaines. Aussi bien « héros » que « joli ». Alors plutôt que de lui dire que je n’étais pas un héros, je lui ai demandé ce qui lui faisait dire que j’en étais un. C’est ainsi qu’elle m’expliqua qu’elle était là le jour où j’avais sauvé l’inconnu de la noyade.
Ensuite vous me demandez ?
Ensuite j’ai fini dans son lit.
Quoi ?! Je n’ai aucune vocation à devenir un Tsunami moi. Par contre, passer du bon temps avec quelqu’un… C’est quelque chose qui désespère assez mes parents d’ailleurs. A chaque fois qu’ils me voix amener quelqu’un, ils s’imaginent aussitôt que je suis enfin en couple et qu’ils pourront compter sur cette personne pour gérer la société à ma place quand ils ne seront plus là.
J’étais loin d’imaginer à quel point ce choix allait complètement bousculer ma vie.
Le moment passé avec Aphrodite était parfait et inoubliable. Mais, éventuellement, il me fallut rentrer chez moi. Cependant, à peine sortit de la chambre de la déesse, je suis tombé sur un autre dieu, le pire que j’aurais put espérer à cet instant : Héphaïstos.
Autant dire, il se doutait de ce qui venait de se passer, et il n’était pas DU TOUT content. Je crois même qu’il m’aurait tué sur le champ si Aphrodite n’était pas intervenue en prétextant que j’étais un Tsunami et que j’étais chargé de lui servir de garde du corps.
Je ne pense pas qu’Hephaïstos y ait cru. Il faut dire que je n’ai pas la dégaine d’un Tsunami, juste celle d’un des nombreux surfeurs que la déesse aime reluquer sur la plage. Pourtant, il m’épargna. Je suppose que, dans le doute, il a laissé passé- pour cette fois.
Mais j’avais bien vu dans son regard que s’il me recroisait, et que je n’étais en fait pas un Tsunami, c’en était finit de moi.

C’est ainsi que j’ai du rejoindre le camp, un peu- beaucoup- contre mon gré. Il y avait beaucoup de négatif à ça : Les missions et l’entrainement principalement. Mais il y avait aussi un peu de positif ! Je pouvais côtoyer régulièrement ma déesse pour laquelle je m’étais vraiment prit d’affection, et mes parents étaient satisfait de me voir enfin faire quelque chose.

Cependant, il me fallut un peu de… Préparation, avant de pouvoir être un authentique Tsunami prêt à être utilisé sur le terrain.

♥

J’entre dans l’Opéra où je trouve Aphrodite en pleine conversation avec un autre Tsunami. Elle me le présente comme étant mon « mentor ». Je crois qu’il s’est présenté sous le nom de Jeffrey. Pour moi c’est juste « sexy », parce que c’est ce qu’il est.
Sexy me mène jusqu’au terrain d’entrainement des Tsunami. Je ne suis pas trop sûr de son idée, mais je le suis  tout de même. Sur place, il s’arrête pour me faire face.
« Alors, de quoi es-tu capable, et quel est ton pouvoir ?
Je le fixe en clignant des yeux avant de sourire.
- J’embrasse très bien ?
Il lève les yeux au ciel.
- Je ne te demande pas pourquoi Aphrodite t’a recruté, je te demande ce que tu peux faire en combat !
- Non, non, vraiment. C’est ce dont je suis capable. Mon pouvoir est d’embrasser des trucs, et de les sceller.
Sexy me dévisage avant de se frotter le visage.
- Bon… Bon, c’est pas grave. On choisit pas son pouvoir, et ça peut être utile en vrai. C’est même super utile. Mais ça dépend comment tu t’en sers. Tu sais faire quoi d’autre ?
Je reste silencieux un instant avant de lui faire un clin d’œil.
- He bien, je sais…
- NON ! Non, je ne veux pas savoir ça ! Bon, j’en déduis que tu ne sais pas te battre ? Et vu ta carrure je ne sais pas si on saura tirer grand-chose de toi… Oh ! Je sais ! On devrait passer aux forges d’Héphaïstos pour leur demander…
- NON !
Je l’interromps aussitôt, effaré.
- Hors de question que je croise Hephaïstos !
Sexy soupire.
- Bon… Bon… Et un animalier ? Tu pourrais prendre un animal de compagnie qui se battrait pour toi ?
Je souris et sautille sur place :
- Oh ! Oui ! Je pourrais prendre un animal Australien ! Il y en a un que j’ai toujours adoré !
Jeff semble particulièrement réjouit.
- Excellent ! Et puis, comme tous les animaux veulent ta mort ici, même le truc le plus mignon sera un monstre avide de sang. Au moins on peut être sûr que tu nous dégoteras un bon combattant ! »

♥

« Un cacatoès… Je n’en revient toujours pas.
Tout en caressant Vénus, mon tout nouvel animal de compagnie, je lève la tête vers Jeff pour préciser.
- Un cacatoès rosalbin. Il est pas adorable ?
Mon mentor se frotte le visage avec exaspération.
- D’accord. Mais tu es au courant qu’il nous fallait un animal pour combattre ? Tu vois ce piaf aller au combat contre des monstres ? Quand tu m’as dit que tu allais amener choisir un animal australien je pensais à un truc dangereux comme il en grouille de partout ! Un kangourou ? Un crocodile ? Un serpent ? Une araignée ? Même une pieuvre à anneaux bleus ou un poisson pierre s’il le fallait ! Mais pas un piaf innocent !
Vénus dresse sa crête sur sa tête en criant :
- Sexy !
Je me racle la gorge en le déposant sur mon épaule.
- Il apprend vite.
Fis-je avec un sourire, comme pour l’excuser, devant le regard désabusé de Jeff.
- Ecoute, je sais que tu ne veux pas te rendre dans les forges d’Héphaïstos, alors j’y suis allé pour toi. Tu ne m’as pas vraiment laissé le choix. J’ai fait fabriquer des serres et un bec pour ton piaf. Tu penseras à les lui équiper quand il faudra combattre.
Il me donne l’équipement en question. Je dois avouer qu’ils sont remarquables, même d’un œil amateur comme le miens. Je pouvais constater qu’ils étaient légers, et que les articulations étaient fluides, mais qu’ils restaient tout de même redoutablement acérés.
- Merci. Par contre, il ne s’appelle pas « le piaf ». Il s’appelle Vénus. C’est un hommage à Aphrodite. »





Signs of Love - Jayden Lovelace 24936211

Halloween
Jayden Lovelace
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Tsunami
Jayden Lovelace
Petit post pour annoncer ici aussi que cette prez' est enfin achevée happy
Jayden Lovelace
Tsunami
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Olympien
Héra
congrats Jayden Lovelace
te voilà validé !

Les tsunamis ne gagnent peut-être pas un grand combattant, mais ils remportent un amoureux des océans. Poséidon sera surement très fier de ton travail, surtout si tu incites les communs à en faire autant. Quant à Aphrodite, elle gagne un nouveau jouet dans sa collection.

PS de Zeus : Si tu n'as pas la carrure d'un tsunami, rassures toi, tu n'as pas celle d'un garde du corps non plus.
pour finaliser ton inscription, suis le lien !
Héra
Olympien
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