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Tsunami
Osiris Ouennéfer
# Soirée mondaine [PV Aurora] - Sam 29 Oct - 13:51
Nouvelle partenaire.
Osiris c’était levé ce matin-là avec un message de sa déesse… une mission à faire. L’Egyptien soupira observant les détails… Aphrodite avait besoin qu’il s’introduise avec une camarade à une soirée mondaine. Il y avait des suspicions concernant un marché noir au sein de la haute caste faisant du trafique d’enfant, d’animaux et autre ressources rares et précieuse. L’homme bien que déjà chargé en travail ne pouvait refuser… surtout qu’il était surement un des mieux placé pour cette mission… Une soirée était organisée ce soir même en Suisse et Aphrodite leur avait procurer deux entrées. Une pour lui et une pour sa partenaire… et de fait compagne de la soirée. Il ne connaissait pas ce nom Aurora… l’avait-il déjà croisé ? probablement… mais il ne se souvenait jamais de ce genre de détail.

Osiris se lève finalement de son lit. S’asseyant dessus. Sekmet, Nubie et Apophis lui saute dessus venant le câliner. Le chef d’entreprise leur adresse quelque caresse avant de penser à comment organiser sa journée… il a des rendez-vous obligatoire… il ne peut pas les déplacer… la demoiselle ne sera pas là avant plusieurs heures… Il se lève et sort de sa chambre qui est à elle seule aussi grande qu’un petit appartement. Il enfile un caleçon avant d’aller dans le grand salon où l’attend déjà Maria, sa gouvernante, avec le petit déjeuné. Il l’a salut avec tendresse comme un fils pour sa mère bien que ce ne soit pas vraiment le cas.  Puis il lui demande d’organiser la réception de sa collègue à l’aéroport et de la ramener ici. Osiris a finalement décidé de travailler à la maison.  

La journée passe et Osiris avait trouvé le temps de chercher qui était Aurora… enfin il avait trouvé un minimum d’information, métier, des images de son travail et de la jeune femme. Osiris était bien obligé de l’admettre, la jeune femme est ravissante et toute adapter pour cette mission en effet… Elle a une grâce naturelle qui plait chez les riches, enfin surtout aux hommes, les femmes risquent de ne guère l’apprécier. Osiris Avait alors prévu de multiple option… pour elle comme pour lui… car il faut l’avouer il n’est pas du genre à souvent porter un costar mais il devra bien faire une exception cette fois.
Lorsque l’heure arrive Maria, la gouvernante âgée de maintenant bien 65 ans part chercher la jeune femme à l’aéroport afin de la conduire chez Osiris.
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Osiris Ouennéfer
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Aurora S. Bishop
Nouvelle partenaire
C’était de ces missions que l’on ne pouvait pas refuser. Si tant est qu’Aurora ait un jour eu l’affront de refuser quelque chose à sa déesse matriarche. D’un geste alangui, elle accepte avec un sourire une des flûtes de champagne qui vacillent dangereusement sur le plateau que lui présente l’hôtesse. La business class avait très vite su lui devenir indispensable. A présent que le succès de ses produits prospérait, et que son nom se taillait la part du lion parmi les grands de l’industrie des cosmétiques, elle ne se privait guère de ces petits luxes qu’elle ne devait à personne.

Pourtant, il s’agissait de bien plus important que les affaires, ce soir. Mais de mission divine. De ces idéaux sacrés qui passent avant tout l’argent et le confort, et qu’Aurora ne dédaignait jamais. D’autant plus qu’il s’agissait là de démantèlement de trafics ignominieux, orchestrés par cette élite des hautes sphères intouchables, de celles dont la jeune femme se plaisait le plus à voir le piédestal s’effriter sous leurs pieds. Il fallait jouer au couple parfait, en compagnie d’un autre des disciples d’Aphrodite. Rien de compliqué, en somme. Un jeu d’enfant, qu’il plaisait déjà à la Tsunami de mettre en pratique, puisqu’il s’agissait là, par cette simple scénette, de sauver de nombreuses vies.

Elle savait parfaitement se tenir au rôle que l’on attendrait d’une épouse de ces hauteurs-ci, tout comme son instinct lui insufflait une confiance innée en l’inconnu qu’elle devait rejoindre. S’il était lui aussi un fils d’Aphrodite, il saurait mieux que personne charmer l’assistance, et paraître à leurs yeux tel qu’il voudrait se montrer. Quant à elle, elle savait qu’il lui fallait gommer ses airs langoureux et sa nonchalance séductrice naturelle, étiolant la sincérité de ses sourires ravageurs à la faveur d’un air guindé, un brin condescendant, qu’elle savait jouer mais qui ne lui ressemblaient pas. Dans sa petite valise à roulettes Vuitton, la sagesse d’une robe noire toute simple, évasée aux genoux, et l’image de ses imposantes boucles ramassées en un chignon bas, promettaient déjà la réussite de l’image guindée et conservatrice que se faisaient ces gens de l’épouse parfaite.

Une femme d’âge mûr, aux allures de douceur maternelle qui lui plurent tout de suite et lui rappelèrent Maman, la salua de la main. Aurora répondit avec un de ces francs et chaleureux sourires qu’il ne lui faudrait pas esquisser ce soir, lui tendant la main en se présentant avec cet enthousiasme dont elle ne se déparait jamais. Dans la voiture qui serpentait entre les rues de ce magnifique pays qu’Aurora n’avait jamais connu, elles discutèrent un instant de tartes à l’abricot et de chaussons aux pommes. Maria paraissait être une formidable cuisinière, et, déjà, elle avait la certitude que son hôte avait du goût.

Son intérieur ne fit que confirmer cette impression. Derrière la petite ombre discrète qu’était Maria, Aurora, tout aussi petite, découvrit la beauté épurée d’une bâtisse sublime, décorée avec un luxe d’une simplicité recherchée, empli de lumière et de surfaces immaculées. Il lui fallut lever la tête, une seconde bouche bée devant la hauteur de son hôte qui l’accueillait. Si son visage lui était familier, n’ayant pas manqué de constater sur les réseaux sociaux que son partenaire était charmant, elle ne se l’était pas imaginée si grand, et les bottines plates qui habillait sa tenue de voyage accentuaient sa taille déjà petite, à elle. N’étant pas du genre à se décontenancer pour si peu, pourtant, elle tendit la main : “Bonsoir Osiris. Enchantée de découvrir mon partenaire de mission en chair et en os.  Merci de m’accueillir chez toi ; ton intérieur est magnifique.” Aurora eut un sourire, toujours à l’aise, sa main toujours sur la poignée de sa valise.
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Osiris Ouennéfer
Dear Lady.
Maria avait été charmée par la jeune femme. Il faut dire ce qu’il est elle avait ce côté attendrissant, naturellement douce et délicate qui aurait plu à n’importe quelle mère pour son fils. Une fois à la maison elle avait ouvert à la belle jeune femme et s’apprêtait à la conduire à Osiris quand il arriva. Le jeune homme était habillé de manière pour le moins excentrique… paré d’or et d’un pantalon étrangement fendu comme seul vêtement. L’égyptien posa son regard ocre sur Aurora. Elle était bien plus petite il fallait l’admettre. Mais le plus important c’est que même alors qu’il la voyait devant lui il était incapable de se souvenir s’il l’avait déjà vu lors de ces passages auprès de la déesse. Osiris avait un regard perçant et en même temps il semblait comme vide comme si la limite entre le visible et l’invisible était fine. A vrai dire pour lui oui… mais ce vide ne dura qu’un infime instant. Son invité était d’une grande politesse il devait en être digne. Il esquissa un sourire charmeur, bien malgré lui. C’était si habituel chez lui pourtant il était loin d’avoir moulte conquête… la présence des vivant avait tendance à le déranger… tout comme celle des morts d’ailleurs. Il s’avança et prit la main d’Aurora délicatement dans la sienne, se penchant pour y faire un baise main… Un comme à l’ancienne… ses lèvres frôlant juste la peau de la jeune femme… j’aimais il n’oserait poser ses lèvres sur la peau d’une femme contre sa volonté. Il se redresse alors.
-Enchanté Aurora.
Bien qu’elle lui ait fait un compliment sur sa maison il n’y répond rien… à y regarder de plus près sa maison était épurée et ne possédait aucun objet personnel. Aucune photo de famille, pas de dessin, ou de tableau familial. Le jeune homme fit un aparté dans cette conversation, comme si un instant la présence d’Aurora ne comptait plus… il remercia Maria avec tendresse encore une fois et lui rappela de ne pas trop en faire. Et seulement après ça il reporta son attention sur sa compagne.
-Je t’ai fait apprêter une chambre, je te la montrerais plus tard… Pour la durée de ton séjour ici tu peux demander ce que tu veux à Maria.
Puisqu’elle l’avait tutoyé il c’était permit de faire de même. Osiris ne savait pas combien de temps allait rester la tsunami mais encore une fois ça n’avait guère d’importance vu la taille de sa maison… il pourrait bien hébergé dix ou vingt personne sans jamais avoir à les croiser. Il commença à ma marcher dans le couloir.
-Si tu veux bien me suivre. Tu peux laisser ta valise ici pour l’instant je te la porterais plus tard dans ta chambre.
Osiris la conduisit dans le petit salon… lui-même assez grand pour un faire la taille d’un deux pièces sans soucis. Le salon était rempli de robe en tout genre pouvant toute coller au type de soirée où il allait se rendre. Toute faite de matériaux de qualité supérieure, assez pour que personne ne doute de sa partenaire. Différent colorie, différente coupe était présente, mais aucune ne donnait dans le vulgaire. Osiris s’arrêta au milieu de la pièce avant de dire.
-Je ne savais pas si tu avais le nécessaire alors… j’ai pris la liberté de faire venir des robes qui pourrait te convenir et convenir à cette soirée. Comme je ne te connais pas il m’a parru impossible de choisir à ta place.
Il ne semblait absolument pas embêter d’avoir dépenser de tel somme… de toute façon si elle voulait toute les garder il les lui offrirait toute après tout… il avait à peut près estimer sa taille… et sa morphologie à partir des photo… alors il est fort probable qu’elle n’irait à personne d’autre.  

Osiris était naturellement l’expression même de grandeur et décadence. Il montrait tous les comportements que pourrait avoir un noble prétentieux à qui tout est dû alors que si on y regarde de plus près, si comme Aurora on peut le voir avec le peu d’être cher qu’il a on pourrait se rendre compte qu’il est plus que cette image. En parlant d’être chère… trois chatons d’un bleu foncé comme un ciel étoilé en plein été, arrivent en courant sautant sur Osiris. Le visage du jeune homme semble se détendre un instant attrapant un des chats pour le câliner.
-Hum… oui… ici tu risque de croiser souvent ces trois-là… ils sont toujours avec moi… Nubie est celle dans mes bras, Sekmet caché derrière ma jambe t’évitera surement et Apophis risque de te prendre plus de temps qu’il en faut si tu ne sais pas lui dire non.
Finalement Osiris avait présenté la totalité de ce qui est à ses yeux sa petite famille. Il regarde Aurora sans arrière-pensée avant de finalement lui proposer quelque chose à boire pour la désaltérer suite à ce voyage et avant de parler de la mission.
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Aurora S. Bishop
Nouvelle partenaire
Elle aurait pu décontenancer n’importe qui d’autre qu’Aurora, l’arrivée de ce si grand homme, vêtu en tout et pour tout d’un pantalon étrange, qu’elle n’aurait sans doute pas approuvé si on le lui avait décrit, mais qu’elle trouvait curieusement seyant, sur lui. Une seconde, il sembla interdit, peut-être autant de se trouver face à une petite femme qu’elle-même en découvrant son immense acolyte d’un soir. Pourtant, il se ressaisit bien vite, esquissant un sourire poli et grâcieux, tandis que d’un pas il s’approchait pour se saisir d’une des mains de la jeune femme, dont il frôla les doigts d’un baise main à la brieveté courtoise. Elle lui répondit par un sourire ravi, pressentant que la mission s’annonçait sous les meilleurs auspices, au regard de leurs facultés communes à se fondre dans la bienséance des hautes sphères qu’ils allaient devoir infiltrer.

Il ne releva pas le compliment sur son intérieur, par humilité ou indifférence peut-être, mais peu importait, au fond. Le jeune homme paraissait lunaire, semblait entrecoupé par des absences qui le déconnectaient de la réalité. Mais son accueil, la sincérité chaleureuse dans son sourire, et la manière dont il traitait Maria -plus comme une mère que comme une gouvernante-, le rendait sympathique. Aussi, lorsqu’il lui précisa avoir fait préparer une chambre à son intention, et qu’il lui suggéra de faire appel à Maria pour le moindre de ses besoins, Aurora se tourna vers l’intéressée pour lui adresser un sourire entendu, presque complice, sous-entendant par là qu’elle pouvait se rassurer, et qu’elle n’aurait pas affaire à une diva capricieuse, dont certains l’accusaient injustement, au premier coup d’oeil.

Maria lui rendit son sourire, et quand Osiris l’enjoignit à le suivre, elle s’exécuta avec un hochement de tête, pour le remercier et lui signifier qu’elle obtempérait. Leurs pas les menèrent au salon. Immense, vaste et d’une sobriété lustrée, calculée, il avait cette beauté sublime et dépouillée du luxe épuré. Pour parfaire ce superbe tableau, plusieurs robes d’une qualité indiscutable y trônaient, aux soies chatoyantes et aux reflets dont la lueur s’entrechoquait aux rayons du soleil. Aurora tâcha de modérer son enthousiasme, ne voulant pas passer pour frivole, ses s’écarquillant malgré tout devant la beauté des étoffes ; “Waouh, eh bien, c’est vraiment très généreux et très attentionné de ta part. Elles sont magnifiques, et crois-moi, je m’y connais…” Une seconde, ses doigts glissèrent sur la soie d’une robe couleur feuille d’automne, au corsage brodé de dentelle noire, effleurant l’étiquette ; “Dior, je l’aurais juré…C’est trop, tu n’aurais pas dû…” C’était de la pure politesse, parce qu’en réalité elle mourrait d’envie d’en porter une, et qu’elle restait sidérée du goût exquis du jeune homme. Il n’y avait pas une seule de ces robes qu’elle aurait refusé de porter. Mais quelque chose lui disait que Maria y était peut-être pour quelque chose. Ses doigts glissèrent sur de la soie, encore (son pêché mignon) couleur champagne, aux reflets mordorés ou ambrés qui chatoyaient lorsqu’elle faisait jouer l’étoffe entre sa main. Une autre, noire, signée Saint Laurent, avait une simplicité d’apparât, savamment cassée par des manches courtes en tulle transparente, que l’on retrouvait au bas de la jupe, et que l’on pouvait déjà s’imaginer folâtrant sur les genoux de la porteuse. Avec un soupir ravi, presque alangui, elle se décida à abandonner à contrecoeur la soie champagne, qui faisait peut-être trop jeune fille, trop virginale, pour ce rôle d’épouse guindée qu’elle devait adopter. Se saisissant des deux cintres avec la même délicatesse que s’il s’agissait de poupées de porcelaine, elle les exposa devant elle, à la vue d’Osiris ; “Tu vas devoir m’aider. La marron à dentelle ou la noire ?”

L’émerveillement fut brisé par l’arrivée impromptue de trois adorables chatons, dont la couleur unique n’étiolait en rien la beauté. Au contraire, leur couleur de ciel au crépuscule fascinait, et parvenait à faire décrocher Aurora de la vision mirifique de cet étalage de robes de luxe. Elle eut un rire amusé lorsqu’Osiris les présenta, la prévenant de l’insistance que pouvait avoir le dernier chaton, si l’on se laissait aller à tout lui céder ; “Cela ne me dérange pas, bonsoir Nubie.” Reposant les cintres, elle gratifia d’une caresse le chaton dans les bras d’Osiris, regardant les deux autres avec un sourire attendri. Et lorsqu’il lui proposa un rafraîchissement, elle accepta avec reconnaissance, prenant cette proposition comme une invitation à s'asseoir sur le divan derrière elle ; “Avec plaisir, je prendrais comme toi. Tu sais, j’ai eu une idée, concernant le trafic d’enfants. Nous pourrions amener la discussion sur ce terrain, et faire comprendre que nous n’avons pas la chance de parvenir à enfanter. Je pourrais ensuite confier ma détresse aux autres femmes, si possible des mères, qui seraient sans doute plus prompte à compatir à mon chagrin. D’autant plus promptes que j’aurais usé de mon pouvoir pour faire émaner un voile de mélancolie et de compassion sur la petite assemblée. Ainsi, elles pourraient peut-être dévoiler un peu leur trafic odieux, en voulant m'aider. Ne sois pas surpris si tu es subitement triste ou déprimé, ce soir. Pour le reste des horreurs que nous sommes censés démanteler, je suis ouverte à toutes les propositions.” Aurora eut un petit sourire, pâli par la gravité de la discussion. Si seulements ils pouvaient être utiles, ce soir.

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Epouse moi.
Osiris devait bien l’admettre la voir approcher des robes et les toucher reconnaitre leur qualité, la faisait ressembler à une nymphe. Le jeune homme la regardait faire avec attention et n’avait loupé aucun de ses intérêts pour les différentes robes. Elle lui avait même demandé de choisir entre deux robes pour ce soir… heureusement les chatons l’avait sauvé de ce choix cornélien.  Il laissa Nubie avec son invité afin de leur servir un whisky plus âgé qu’eux même mais d’une délicatesse en bouche inégalé. Il déposa le verre sur la petite table basse en verre devant le fauteuil sur laquelle Aurora avait prit place. L’égyptien s’installa en face d’elle et l’écouta avec une attention particulière. C’était un vrai effort pour lui de ne louper aucune information provenant des lèvres de la jeune femme lui qui avait toujours l’esprit qui voguait ailleurs. Cependant les idées qu’elle avançaient était toute très intéressante. Il bu un peu du précieux liquide avant de répondre à sa partenaire.
-Cela me semble être une idée plutôt intéressante… mais tu dois savoir qu’une partie des nobles que nous allons voir ce soir… je les côtoie aussi dans le cadre de mon travail et de part mon propre rang. Il est évident que ta présence à mon bras attira la curiosité de plusieurs d’en eux pour le meilleur comme pour le pire.
Il sembla réfléchir un instant se levant pour inspecter les deux robes qu’elle avait choisi pour le rôle d’épouse… ou plutôt de future épouse… fiancé… conviendrais mieux.
-Le reste des horreurs présente au marché noir nous pourront les démanteler une fois que nous seront convié à une de ces fameuses ventes. Après tout nous n’auront en face de nous que les acheteurs, potentiellement quelque trafiquant mais je doute que la majorité soit des nobles… les nobles sont par contre de très bon investisseur quand cela sert leur intérêt. Mais il n’aime pas spécialement se salir les mains de manière trop directe.
Osiris ne savait cela que trop bien, tel était l’éducation que son père lui avait donnée même s’il n’était pas en accord avec. Lui qui avait dû voler pour manger depuis son plus jeune âge. Le roi des morts, fini par choisir la robe noire la prenant délicatement entre ses mains. Il l’emmena à Aurora.
-Celle-ci sera parfaite.
Je la regarde longuement avant de faire demi-tour et d’aller ouvrir un tiroir comprenant diverse boites toutes neuves…
-Tu as dit que je pouvais ressentir de la tristesse au cours de la soirée… est-ce lié à… ton pouvoir ?
Je lui demande ça tout en cherchant les pièces parfaites, celle qui la sublimeront elle et cette robe. Je sors deux boites, une petite boite très petite contenant une bague et l’autre plus grande comprenant un collier. Je reviens vers elle tranquillement tout en écoutant toujours sa réponse.
Il semblait important pour le noble de connaitre bien sa partenaire et notamment son pouvoir… après tout cela pouvait leur être très utile en fonction des situations. Osiris en attendant la réponse, mit un genou au sol, pour ne pas se faire mal au dos, lorsqu’il posa les boites sur la table basse… il ouvrit d’ailleurs la plus grande en premier. Elle contenait un collier, finement travailler… rien ne pouvais contester le travail de l’orfèvre sur cette pièce, l’or était parfaitement réparti, et dedans était taillé finement comme des feuilles s’entrelaçant… il faillait y apporter attention pour le voir mais le travail était tout de même là. Puis, Osiris attrape la petite boite avec une appréhension qu’il ne se connaissait pas. Bien que tout ceci n’était que plein de faux semblant… il regarda Aurora avec un instant d’hésitation.
-Puisque nous allons faire semblant d’être en couple également… je… enfin… tiens.
Il ouvrit la petite boite tendant vers Aurora une bague de fiançailles elle aussi finement travailler, ornée d’un rubis et de plusieurs petits diamants. Elle aussi était faire d’or, ni trop grosse ni trop fine. Elle était cependant à la hauteur de ce qu’un noble pourrait mettre en prix pour sa belle. Elle n’était pas trop visible ou extravagante et devrai être parfaitement mise en valeur à la main de la belle tsunami. Osiris n’avait jamais imaginé un jour donner une bague à qui que soit, lui qui aimait plus que tous les bijoux… c’était une part de son travail de fournir d’excellent matériaux aux meilleurs… mais surtout la bague avait une valeur symbolique qui rappelait au jeune homme pourquoi il préférait rester seul. A aucun moment il n’a une fois envisager dans sa vie contraindre… une femme ou un homme à devoir vivre avec lui et encore pire à porter le poids qu’imposerais de vivre avec lui… Osiris avait alors un regard un peu triste. Il ne connaissait pas bien Aurora, mais un instant il eut l’impression d’enchainer la jeune femme au fardeau de son pouvoir… et ce même fictivement était une idée intolérable pour lui. Il finit tout de même par lui sourire. Après tout il l’avait choisi pour elle, spécifiquement pour elle.
-J’espère qu’elle te plaira…
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Osiris Ouennéfer
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Aurora S. Bishop
Nouvelle partenaire
Les reflets mordorés du nectar délicat scintillaient contre les parois du verre en cristal. Aurora remercia d’un sourire reconnaissant, trempant délicatement ses lèvres ourlées dans le breuvage exquis qui délassa ses membres du long voyage, dès la première goutte. Et tandis qu’elle lui exposait l’idée qui lui avait effleuré l’esprit, il tâchait de l’écouter poliment, malgré qu’il paraisse toujours un peu ailleurs, comme perché quelque part sur la lune, en un endroit ou ses pieds peinaient à toucher l’asphalte. Pourtant il avait écouté, analysé et compris, puisqu’il hocha doucement la tête avant de répondre que l’idée était bonne, mais qu’elle ne devrait pas se déconcerter de la curiosité que susciterait leur couple, Osiris étant connu de cette élite au vernis doré et respectable qu’ils avaient pour mission de démanteler. Elle se contenta de hocher la tête, le laissant continuer à lui expliquer que la potentielle réussite à cette soirée ne serait que la victoire de la première bataille, avant les hostilités réelles, soit d’éventuelles invitations à ces enchères au marché noir et monstruosités diverses qu’Aphrodite leur avait donné pour mission de mettre au grand jour ; « Oui ne t’en fais pas, je vois malheureusement très bien ce que tu veux dire. Je me comporterai comme une parfaite compagne de gentilhomme de leur caste. »

Aurora ne put s’empêcher d’esquisser un sourire taquin, malgré la gravité de la situation. C’est que ce petit jeu de couple de la haute bourgeoisie aurait pu être léger et divertissant, si les enjeux n’étaient pas aussi sombres. Mais, malgré son tempérament visiblement lunaire, Osiris était un compagnon agréable et la jeune femme une âme trop positive pour ne pas en profiter, malgré le caractère sordide de leur mission. De plus, il se révélait avoir un goût exquis car c’est sans l’aide de Maria qu’il lui apporta avec délicatesse la robe noire, la plus appropriée finalement, la plus sobre et peut-être la plus chic. Aurora lui adressa un sourire de connaisseuse, s’en emparant avec la même prudence sacrée que s’il s’était agi d’une poupée de porcelaine ou d’une relique.

Puis soudain, alors qu’elle trempe les lèvres dans le whisky d’exception, et qu’elle dépose avec soin la robe près d’elle sur le sofa, Osiris se détourne, continuant toutefois de lui parler, semblant à la recherche de quelque chose. Aurora hocha doucement la tête, malgré qu’il ne puisse plus la voir ; « Oui, je peux influencer les émotions des gens…Mais je ne peux pas précisément l’orienter sur une seule personne, aussi si je leur inspire de la mélancolie et du chagrin pour les inciter à la compassion, tu le ressentiras toi aussi, je suis désolée par ailleurs, c’est pourquoi je t’en parle au préalable, cela peut déconcerter…Et toi, quel est le pouvoir dont t’as doté notre chère Aphrodite ? »

Mais soudain, Osiris revenait, chargé de deux boîtes qui ressemblait à des écrins. Aurora n’en croyait pas ses yeux. Il lui fallut pourtant l’admettre lorsqu’il souleva le couvercle de la plus grande, de ses longs doigts délicats. Par le bijou, et par lui. Sa minutie dans le détail, sa prévenance, son souci de bien faire. Et son goût. Là, reposant sur un petit coussin de velours, un collier fait d’entrelacs d’or, savamment sculptés à la manière de feuilles d’automne entremêlées, faisait étinceler ses dorures discrètes et délicates. C’était fin, magnifique, discret, loin de la vulgarité ou de l’ostentatoire. Il la lui fourra dans les mains, commençant à s’expliquer d’une voix entrecoupée et soudain timide, lorsqu’il ouvrit le plus petit des écrins. Une bague. De l’or jaune, lui aussi finement ciselé en torsade, emprisonnait entre ses griffes délicates un rubis taillé en cœur, d’une couleur vermeille profonde, de la même teinte que ses ongles. De petits diamants sertissaient les entrelacs d’or fin. Elle était sublime. Comme si Osiris l’avait su, ou deviné. Aurora lui jeta un regard écarquillé, semblant seulement s’apercevoir qu’il avait mis un genou en terre, à la manière d’un véritable amoureux transi qui demande la main de sa dulcinée. La beauté de ces bijoux, le soin apporté à leur choix, afin qu’il corresponde à l’idée qu’il se faisait de la jeune femme, ce regard soudain voilé d’une inconsciente mélancolie la touchèrent un instant, percevant là une solitude ou un chagrin désabusé pour une relation affective déchue, peut-être ; « Oui, je le veux. » Le tempérament solaire d’Aurora avait repris le dessus, ainsi qu’un sourire malicieux qui s’étira sur ses lèvres cramoisies. D’un geste grâcieux, elle lui tendit la main pour qu’il se relève, voulant dédramatiser cette tristesse soudaine et cet air soudain timide qui rendait l’atmosphère grave. Et la question lui sembla rhétorique, tant la réponse était évidente, et, pour bien le lui signifier, elle glissa tout de suite son annulaire gauche dans l’anneau d’or, admirant sa main ainsi parée, tendue devant elle ; « Tu espères ? Elle est sublime, merci mille fois. Elle me va comme un gant en plus. On dirait qu’elle a été faite pour moi. Le collier est magnifique aussi. Sais-tu que tu as beaucoup de goût ? En matière d’alcool également. » Joignant le geste à la parole, elle leva son verre pour trinquer avec lui, souriant toujours ; « A quelle heure avons-nous rendez-vous ? »

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Une interruption impromptu
La réponse de sa partenaire sur sa magie, l’avait intrigué. C’était à la fois fascinant et effrayant… d’une certaine façon il avait peur qu’elle puisse faire ressortir des émotions qu’il avait soigneusement enfoui en lui des faiblesses inavouées. Fort heureusement il n’avait pas eu le temps de lui parler de son pouvoir. Du moins il pensait que c’était une bonne chose mais la réalité le rattrapait bien vite. Alors que la belle semblait s’émerveiller devant les bijoux et leur manufacture minutieuse… une main tenta de faire tomber la bague traversant simplement l’écrin et la main de son invité. Ce geste aussi rapide qu’agressif était accompagner d’une voix perçante, le poussant à poser la main sur une de ses oreilles comme pour atténuer un bruit qu’Aurora ne pouvait manifestement pas percevoir. L’égyptien détourne finalement le regard vers le fantôme, elle l’avait reconnu et lui aussi l’avait reconnu mais que faisait-elle ici ? quel était son lien avec sa partenaire ? il essayait de se remémorer sa conversation passé avec Kana alors qu’il se rassoit en fasse d’Aurora trinquant avec elle doucement. Il fini par fermer les yeux doucement.
-Excuse-moi.
Dit-il à l’attention de sa compagne avant de tourner la tête vers Kana.
-Qu’est-ce que tu fais ici ? et en quoi c’est ta protégée… et pour répondre à ta question… je lui offre une bague, ce n’est pas encore un crime il me semble…
Osiris était obligé de parler à voix haute pour communiqué avec les fantômes mais cela le fait plus passé pour un fou qu’autre chose… après quelque explication énergique de Kana et des reproches à peine voilé sur le fait qu’on n’offre pas une bague de fiançailles à la légère il décide de l’ignorer un instant pour expliquer la situation à Aurora.
-Je m’excuse… pour cette aparté… voilà l’occasion de répondre à ta question sur mon pouvoir. Il ne me vient pas d’Aphrodite mais d’Anubis… le dieux des morts. Pour éviter de faire… compliqué, disons que je vois les morts et je les entends. Je peux aussi utiliser leur âme pour leur donner une forme plus… physique de mon choix comme pour les trois chatons qui sont là… leur couleur et leur dorure représente l’utilisation de ma magie sur eux pour les rendre perceptible physiquement.
Il la regarde avec douceur…
-Je ne voulais pas paraitre impoli face à tant de compliment que tu m’as fait, mais hum avec nous… il y a Kana... je crois que tu l’a connais bien puisqu’elle ne cesse d’essayer d’achever mes tympans… elle semble très inquiète pour toi… malheureusement pour moi contrairement aux hommes ou femmes que tu as dû croiser dans ta vie… moi je l’entends… donc je vais supposer que je prends des remontrance également pour tous mes prédécesseurs.
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Osiris Ouennéfer
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